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Vienne,
en latin Vindobona, Flaviana castra, Juliobona, en
allemand Wien est la capitale de l'Autriche,
sur la rive droite du Danube,
dont une dérivation traverse la ville, et sur la Wien; à
1390 kilomètres à l'Est de Paris;
à 203 m d'altitude. La ville est dans une admirable position naturelle,
sur un léger renflement que forme la plaine au pied des derniers
escarpements des Alpes.
Sa situation géographique générale n'est pas moins
favorable; placée à la limite d'une grande plaine de l'Orient
et des régions montagneuses de l'Occident, elle se trouve de plus
au point de croisement des deux plus grandes routes naturelles de l'Europe
centrale : celle que forme le Danube pour pénétrer en amont
dans le plateau bavarois et arroser en aval la Hongrie;
celle qui longe depuis l'Italie
les contreforts des Alpes et se prolonge au Nord vers la République
Tchèque
et l'Allemagne.
Le climat est tempéré, quoique assez instable (la température moyenne de l'année est de +9,2°C; les précipitations sont de 647 mm d'eau par an, et il y a et 130 jours pluvieux). Toutes ces conditions ont assuré à Vienne une grande importance historique et un important accroissement de population. Elle comptait 175.000 habitants en 1754, 231.000 en 1800, 318.000 en 1810, 408.000 en 1846, 607.000 en 1869, 704.000 en 1880, 817.000 en 1890. Cette année-là, l'annexion d'un certain nombre de communes rurales a porté d'un seul coup la population à 1.364.548 habitants. Le recensement de 1900 accusait un total de1.662.269 habitants, ce qui faisait de Vienne la quatrième ville de l'Europe (après Londres, Paris et Berlin). La population a peu évolué depuis (elle est de 1 800 000 habitants de nos jours). Vienne est aussi
devenue à partir de la fin du XIXe
s. une capitale culturelle de premier plan. Les noms de musiciens
tels que J. Strauss, Bruckner, Schubert, Mahler,
Brahms et Wagner lui sont attachés. La
peinture
et l'architecture (Sécession de
Vienne, A. Loos) y ont eu y foyer florissant au début du XXe
s., de même que la psychanalyse (Freud),
la philosophie (Ludwig
Wittgenstein ou encore,
Karl Popper, Rudolf
Carnap et le Cercle de Vienne).
Aspect de la ville. Principaux monuments de VienneLes quartiers de Vienne présentent des caractères très différents, suivant la date à laquelle ils ont été construits. Au début, et jusqu'au XIXe siècle, la ville ne comprenait que le quartier appelé aujourd'hui Ville intérieure (Innere Stadt), situé sur la rive droite du canal du Danube (Donaukanal), et délimité par des remparts circulaires, bordés eux-mêmes de larges glacis. Après 1815, des faubourgs populeux s'élevèrent, soit sur la rive gauche du canal, soit en dehors des murs. En 1867, la démolition des remparts permit de construire sur leur emplacement un superbe boulevard circulaire (le Ring). Enfin, par suite du développement croissant de la population, les localités de la banlieue se sont peuplées au point de pouvoir être considérées comme des annexes et des prolongements de Vienne. On peut donc distinguer dans la ville cinq parties : 1° la Ville intérieure; 2° le Ring; 3° les faubourgs de la rive droite du canal; 4° les faubourgs de la rive gauche; 5° la banlieue.La Ville intérieure
(Innere Stadt).
L'église
Saint-Etienne
L'église métropolitaine de Vienne est en forme de croix latine, et a les dimensions suivantes : longueur totale hors oeuvre, 105,25 m; longueur du transept, 70 m; largeur des nefs, 36,30 m; largeur de la façade, 44,60 m. La charpente qui la couvre, et qu'on nomme la Forêt, est composée de 2889 pièces de bois; elle n'a pas moins de 33 mètres de haut au-dessus de la nef, et de 20 m au-dessus du choeur, et supporte une couverture en tuiles vernissées, blanches, rouges et vertes, qui forment des dessins géométriques et encadrent l'aigle d'Autriche. La grande porte d'entrée, dite Porte du Géant, entre les tours des Païens, offre tous les caractères du style romano-byzantin, en usage au XIIe siècle : elle est ornée d'une statue du Christ, qu'entourent deux Anges et les Apôtres, et surmontée d'une très longue fenêtre ogivale, puis d'une galerie qui joint les deux tours, hautes de 60 m. Aux extrémités du transept
sont de beaux porches, sculptés au
XIVe siècle par Henri Kumpf et Christophe
Horn de Dünkelspül; on y a représenté, entre autres
sujets, la mort de la Vierge et son couronnement dans le ciel. Sur le mur
septentrional on remarque une chaire de pierre,
d'où le moine franciscain Jean Capistran
prêcha la croisade contre les Turcs
en 1451. Mais ce qui attire surtout l'attention à l'extérieur
de l'église
L'intérieur de la cathédrale de Vienne est à trois nefs, d'égale hauteur (2720 m). Il est éclairé par 31 grandes fenêtres, et soutenu par 18 piliers isolés et 18 pilastres. Les piliers sont ornés chacun de six statues, dont quatre suivant deux diagonales et à la même hauteur, les autres sur les faces et plus élevées. Tous les autels des chapelles sont en marbre, et quelques-uns surmontés de tableaux de maîtres. Le choeur, où l'on compte 86 stalles sculptées, est divisé en trois parties : un choeur principal et deux choeurs latéraux, Dans le choeur dit de la Passion, on voit le sarcophage en marbre de l'empereur Frédéric IV, exécuté par Lerch, artiste de Strasbourg: il est décoré de 240 figures en relief. La chapelle de Sainte-Catherine contient les fonts baptismaux, oeuvre charmante de la fin du XVe siècle, et un crucifix avec les 12 Apôtres, sculptés en marbre par Lerch en 1513. Dans la chapelle de Saint-Eugène, que ferme une grille en fer du XVIIIe siècle, d'une richesse inouïe, se trouve le monument doré du prince Eugène de Savoie. La chaire en pierre, terminée en 1430, est un chef-d'oeuvre, bien qu'on y sente un trop grand amour du fouillé et de la recherche : la base est composée de colonnettes, de contre-forts et d'arcs-boutants, de pinacles, de feuilles finement découpées, et de niches où sont logées de gracieuses statuettes; le corps offre les bustes des quatre grands docteurs de l'Église latine, entourés de moulures, de feuillages et de fleurons variés à l'infini; le couronnement, qui est en bois, est couvert de bas-reliefs représentant les sept Sacrements, et terminé par une pyramide chargée de feuilles épanouies; sous la rampe de l'escalier, un personnage, qu'on croit être A. Pilgram, se penche par une espèce de fenêtre carrée. Le buffet d'orgues est encore une oeuvre digne d'être mentionnée. Sous l'église de Saint-Étienne est une crypte, où les membres de la famille impériale ont été ensevelis du XVe au XVIIe siècle. Les
autres monuments de la Ville intérieure.
Le Freiung, place toute voisine, a la forme d'un triangle, limité, au Sud-Ouest : par le palais Harrach (1689) qui contient une galerie de 400 tableaux de maîtres; au Nord, par l'église des Ecossais (Schottenkirche), qui renferme le tombeau de Stahremberg (mort en 1701), au Nord-Est par le palais Schönborn en style rococo, dont la galerie de tableaux rivalise avec celle du palais Harrach. Dans les quartiers Sud-Est de la ville
intérieure, l'église des Augustins (Augustinerkirche),
paroisse de la cour, contient de beaux monuments élevés à
Marie-Christine (morte en 1798), à Léopold II (mort en 1792)
et au feld-maréchal Daun; l'église des Capucins (Kapuzinerkirche),
édifice de style baroque (1622), qui repose sur un caveau
où sont enterrés les membres de la famille impériale.
Le Palais Impérial (Hofburg), qui abrite aujourd'hui un musée,
est un ensemble de constructions de différentes époques,
qui couvre au Sud un vaste espace de terrain.
L'aile Saint-Michel (Michaelertrakt) du palais impérial (Hofburg). Celle-ci, conçue par J. E. Fischer von Erlach en 1726, n'a été bâtie qu'à la fin du XIXe s; (entre 1889 et 1893). La plupart datent du XVIIIe siècle, présentent un aspect uniforme et grisâtre et renferment des places régulières, ornées au centre de statues, où le public peut circuler. Ce sont : la place François, avec la statue de François Il (mort en 1835) par Marchesi, sur laquelle donnaient les appartements de l'empereur; la cour Amélie (XVIIe siècle), la cour des Suisses, la plus ancienne de toutes, avec l'entrée de la chapelle du château; la place Joseph, ornée du monument de Joseph II par Zauner et sur laquelle donne la magnifique salle de la Bibliothèque du Vienne. La Burg a été renouvelée à la fin du XIXe siècle et complétée : au Nord, par la somptueuse façade de la place Saint-Michel; au Sud, par une vaste construction semi-circulaire, qui sépare le Jardin de la Cour (Hotgarten) du Jardin public (Volksgarten) où s'élèvent les monuments élevés à l'archiduc Charles, au prince Eugène et au poète Grillparzer. Le Burgthor, portique dorique de Nobile (1822), conduit du jardin dans le Ring. Le Ring.
La Schottenring présente l'aspect régulier et banal de toutes les grandes rues modernes. Seule, la Bourse, bâtie de 1872 à 1877, dans le style de la Renaissance, sur les plans de Hansen et de Tietz, vient rompre son uniformité. Mais à son extrémité, le Franzensring et le Burgring forment un ensemble d'une majesté incomparable, unique peut-être dans les capitales européennes. Des flots de verdure qui couvrent les squares émergent des masses architecturales de styles divers et d'allure imposante. A chaque pas, des avenues latérales découvrent d'immenses perspectives. Ce panorama commence au carrefour situé à l'extrémité du Schottenring. A droite s'élève l'Église votive (Votivkirche), bâtie en 1853, à la suite d'un venu prononcé par l'empereur qui venait d'échapper à un attentat. C'est un magnifique et élégant édifice go thique, de Ferstel, avec deux tours sculptées à jour de 99 m de haut ; elle est entourée d'un parc, devant lequel se réunissent la Wahringerstrasse et l'Universitätsstrasse. Après cette église, le boulevard
s'infléchit à gauche et passe devant le Rathhauspark, grand
parc rectangulaire, dont les quatre côtés sont entourés
par des édifices modernes. Ce sont : 1° sur le côté
Nord, l'Université, construite de 1873 à 1884 par Ferstel,
dans le plus beau style de la Renaissance. C'est une vaste construction
carrée, avec une grande cour centrale à portiques. 2°
Sur le côté Ouest, l'Hôtel de ville (Rathhaus)
est, au contraire, de style néo-gothique. Construit de 1873 à
1883 par Friedrivh Schmidt, il a coûté 15 millions de florins,
et sa flèche, haute de 100 m, domine tout le quartier. Il contient,
outre une vaste bibliothèque, un intéressant musée
historique. 3° En face, sur le côté Est, le théâtre
de la Hofburg (1876-1889) est de style Renaissance. 4° Enfin le style
grec est représenté, sur le côté Sud, par le
Parlement (Reichsrathsgebaüde), qui étale au dehors
ses colonnades
et ses rampes d'accès. A l'intérieur, les deux Chambres forment
deux bâtiments indépendants, réunis seulement par les
ailes basses.
Façade de l'Hôtel de Ville (Rathaus) de Vienne. Après le Parlement, le Ring fait encore un coude à gauche, laisse apercevoir à droite le Palais de justice (1875-1881) à travers des masses de verdure, prend le nom de Burgring et aboutit à la place Marie-Thérèse, qui présente la même disposition que le Rathhauspark un quadrilatère planté d'arbres, encadré par des monuments publics. Ce sont, en tournant le dos à la Burgthor et à la Hofburg : en face et au fond, les écuries de la cour; en face et à gauche, les musées, bâtiments symétriques et semblables, construits de 1872 à 1889, dans le style de la Renaissance italienne, par Semper et Hasenauer, et contenant, l'un un magnifique musée artistique et historique (Kunsthistoriche Museum), l'autre un intéressant musée d'histoire naturelle (Naturhistorisches Museum). Au centre de la place s'élève le somptueux monument de Marie-Thérèse, érigé en 1888 par le sculpteur Zumbusch. L'impératrice est représentée par une statue assise, en bronze, de 6 m de haut, autour de laquelle sont dressées les statues équestres, aussi en bronze, des généraux Landau, Daun et Khevenhüllier. Après le Burgring, l'Opernring conduit à l'Opéra (Hofoperntheater), splendide édifice du style Renaissance, qui date de 1861-1869 et restauré depuis. Plus loin, le Ring se resserre, c'est le Kärnthnerring et le Kolowratring, où se concentre la vie élégante, où l'on trouve les beaux magasins et les grands hôtels. Entre les deux, la place Schwarzenberg contient la statue du prince de ce nom (mort en 1820), qui commanda les armées alliées en 1814; derrière le second s'élève, sur une petite place, le monument de Beethoven, d'après Zumbusch. Plus au Nord, le Parkring côtoie l'élégant Stadtpark ou parc de la ville. Plus au Nord encore, le Stuberning va se terminer au Danube, après être passé entre le musée d'art et d'industrie (1868-1877), de style Renaissance. Le Ring se termine au canal du Danube, à 1200 m de son point de départ, auquel il est relié par le Franz-Josephsquai. Les faubourgs
de la rive droire du canal.
L'église Saint-Charles-Borromée (Karlskirche), à Vienne. Les deux colonnes sont inspirées de la colonne de Trajan, à Rome. Les
quartiers de la rive gauche.
La
banlieue de Vienne.
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Au Sud de Vienne, immédiatement
à la lisière de la ville, se dresse le fameux château
de Schönbrünn, commencé
par l'empereur Mathias, achevé sous Marie-Thérèse
en 1775, habité par Napoléon en
1805 et 1809. C'est une vaste construction, de style rococo,
remarquable surtout par le jardin qui l'entoure. Par derrière, une
colline en pente douce, ornée de parterres, de bassins et de jets
d'eau, s'élève jusqu'à la Gloriette,
portique de 95 m de long et de 120 de haut, d'où l'on découvre
une belle vue sur la ville. Plus au Sud encore s'étend une vaste
et riante plaine sur laquelle débouche la pittoresque vallée
de la Brühl, en face du château impérial de Laxembourg.
Plus au Sud encore, la petite ville de Baden, célèbre par
ses eaux sulfureuses, sert de ville d'eau aux Viennois.
A l'Est, le Prater, ouvert au public en 1766 par Joseph Il, couvre 1712 hectares. Il est sillonné par trois grandes allées, bordées d'une quadruple rangée de marronniers. Au milieu s'élève une rotonde, dernier reste de l'Exposition de 1873. Enfin la partie antérieure de la promenade est le "Prater du peuple" (Würstelprater). Au Nord, le Danube coule dans le nouveau et large lit rectiligne qu'on lui a creusé. Il est traversé par le beau pont de fer Kronprinz-Rudolf. Histoire de VienneOn attribue à Vienne une origine celtique. En tout cas, la ville apparaît dans l'histoire, à l'époque romaine, quand Auguste conquiert la Pannonie, et elle porte alors les noms de Vinaomina puis de Vindobona. C'est là que la 13e, plus tard la 10e légion avaient leur castrum stativum qui occupaient un quart environ de la Ville intérieure actuelle. C'est là que mou rut en 180 l'empereur Marc-Aurèle. A la fin du IIIe siècle, la colonie était déjà un municipe : après les invasions; elle appartint aux Ostrogoths. Quand Charlemagne eut organisé la défense du pays entre l'Enns et la Wiener wald, une famille de comtes francs reçut le pays en fief.Le
Moyen âge.
Après l'extinction de la maison des Babenberg (1246), Ottokar de Bohème confirma tous les privilèges de Vienne; son rival, Rodolphe de Habsbourg, s'en empara (1276) et en fit sa résidence; elle devait rester celle de ses descendants; Le duc Rodolphe IV (mort en 1365) acheva Saint-Etienne et fonda son Université. En 1448, l'empereur Frédéric III y signa un concordat avec le pape. Peu après, les Viennois se révoltèrent contre lui, et il ne dut sa délivrance qu'à l'intervention du roi de Bohème, Georges Podiebrad. En 1480, la ville devint le siège d'un évêché. Matthias Corvin l'assiégea en 1484 et y mourut en 1490. Les
Temps modernes.
En 1704, les insurgés hongrois de
Rakoczy, menacèrent Vienne. En 1722, le pape érigea en archevêché
l'évêché de Vienne. Pendant la période révolutionnaire
et impériale, la ville fut, à deux reprises, occupée
par les Français : du 13 novembre
1805 au 12 janvier 1806, et du 13 mai au 14 octobre 1809. En 1815, les
fêtes auxquelles donnèrent lieu le congrès
de Vienne justifièrent la réputation qu'elle s'était
acquise, dès le XVIe siècle,
"capitale de bon plaisir" (Aeneas Sylvius). Elle conserva ce caractère
pendant toute la durée du régime Metternich;
mais, pendant l'année 1848, elle fut agitée par trois grands
mouvements populaires : le premier (13 mai) aboutit au renvoi de Metternich
et à l'octroi d'une constitution; le second fut surtout une révolte
d'étudiants et amena l'empereur à abandonner la ville; le
troisième (6 octobre) fut une véritable révolution,
ensanglantée par le meurtre du ministre de la guerre, Latour; elle
força les troupes impériales à évacuer la ville
et à la reprendre après un sanglant combat (31 octobre).
Le
XXe siècle.
A cette date l'Autriche
retrouve sa pleine souveraineté, grâce au choix qui est fait
de rester neutre dans la confrontation Est-Ouest. La restauration de plussieurs
édifices (tels que l'Opera et le Théâtre, sur le Ring)
se termine aussi vers cette époque. Vienne retrouve ainsi un peu
de son ancien visage, en même temps que de nouveaux édifices
sont construits, notamment pour abriter plusieurs institutions internationales
rattachées aux Nations Unis (un complexe d'édifices terminé
en 1979), mais aussi les sièges de l'Organisation du Traité
de non-prolifération nucléaire, de l'Agence internationale
de l'énergie atomique, de l'Organisation des pays exportateurs de
pétrole (OPEP), de l'Organisation pour la sécurité
et la coopération en Europe, etc. Quant à la Tour du Danube,
haute de 252 m, elle a été construite en 1964. La tour du
Millenium, haute de 171 m (202 m avec l'antenne), appartient pour sa part
au début du XXIe siècle.
L'immeuble des Nations Unies à Vienne. C'est l'un des quatre sites dont dispose l'organisation internationale à travers le monde (les autres sont à New York, à Genève et à Nairobi). Images : The World Factbook. Traités
et congrès de Vienne.
On nomme congrès de Vienne le congrès tenu dans cette ville du 3 octobre 1814 au 9 juin 1815 par les puissances alliées pour régler l'état de divers États de l'Europe et assurer l'équilibre européen; Déclaration de Vienne, l'acte publié par les alliés le 13 mars 1815, par lequel Napoléon était mis hors la loi. (GE). |
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