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Bordeaux (Burdigala ,
civitas Biturigum, Bourdeu, Bourdeaux) est une grande ville de France ,
chef-lieu du département de la Gironde, sur
la Garonne ,
Ă 96 km de l'embouchure du fleuve dans l'Atlantique ,
et Ă 26 km en amont du confluent avec la Dordogne
au Bec-d'Ambez; à 560 kilomètres au Sud-Ouest de Paris;
population : 238 900 habitants (2010); agglomération : autour d'un 1 million
d' habitants. C'était autrefois la capitale, notamment, de l'ancienne
province d'Aquitaine ,
de la Guyenne
et du Bordelais .
La ville de Bordeaux, après la réunion
du faubourg de La Bastide, s'est étendue sur les deux rives de la Garonne,
mais la vieille ville, avec les principaux monuments, est sur la rive gauche
du fleuve, le long duquel elle présente un développement de 6 km environ
du Sud au Nord, alors que sa plus grande largeur est Ă peine de 1800 m.
La ville présente à peu près la forme du croissant qui figure dans ses
armoiries. Plusieurs petits cours d'eau, la plupart canalisés, traversent
la ville : Ă l'Ouest et au Sud la Devise, le Peugue, l'Eau-Bourde et le
ruisseau de Bègles; au Nord la Jalle.
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Le
vieux Bordeaux et le Pont de pierre sur une ancienne photographie.
Bordeaux est une des plus vieilles villes
de France ;
on y reconnaît encore la ville ancienne et la ville neuve : c'est une
des plus régulièrement et des plus splendidement construites. Son enceinte
du Moyen âge ,
démolie sous l'administration de Tourny, est encore reconnaissable par
les cours magnifiques qui ont remplacé les vieux remparts.
La ville s'embellit et s'agrandit tous les jours. A partir de 1861, le
périmètre de la ville était limité par une ligne de boulevards extérieurs
qui a englobé une partie des communes rurales du Bouscat, Talence, Caudéran,
Bègles, Lormon, Cenon, La Bastide, Floirac, et qui a accru de 719 hectares
le territoire de la cité. Les quais superbes bordent le port de Bordeaux
proprement dit; les maisons sont construites sur un plan régulier et uniforme
jusqu'Ă la Bourse.
Magnifiques quartiers du Chapeau-Rouge,
des Chartrons, cathédrale, palais-archiépiscopal,
théâtres (le Grand théâtre
est un des plus beaux de l'Europe); on y remarquait aussi jadis le château
Trompette, aujourd'hui détruit, et le fort ou château du Hâ, qui n'existe
plus qu'en partie. Promenades remarquables. Vins renommés (tous les vins
du département de la Gironde et des départements voisins sont dits vins
de Bordeaux); pour une carte du vignoble, voir la page Bordelais .
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Plan
de Bordeaux. Cliquer sur la carte pour l'agrandir.
(source
: Contributeurs d'OpenStreetMap).
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Monuments
de Bordeaux
Bordeaux possède un grand nombre d'édifices
remarquables. Il ne reste debout qu'une belle ruine romaine
: le Palais Gallien, amphithéâtre
bâti en pierres carrées entrecoupées de longues briques, et qui mesurait
de 132 Ă 137 m hors d'oeuvre, dans le sens de son grand axe, 105 Ă 114
m dans le sens du petit axe, sur 21 m de hauteur; il contenait, dit-on,
25,000 spectateurs et l'arène avait 77 m sur 55. Un monument plus précieux,
bâti sous Auguste, s'élevait au sud du Grand-Théâtre;
on l'appelait les Piliers de Tutelle, Ă cause de sa belle colonnade;
il fut détruit sous Louis XIV.
La
cathédrale Saint-André.
Parmi les trente églises
de Bordeaux, il faut citer la cathédrale
(primatiale) Saint-André,
commencée à la fin du XIIe siècle et
terminée au XVe siècle; Clément
V contribua aux frais de construction du transept.
L'édifice mesure 129 m de Iongueur, les voûtes
de la nef 25 m de hauteur, celles du choeur
33 m. La nef est d'une époque un peu antérieure
à celle du choeur. La façade nord du transept
est dominée par deux flèches dentelées de 81 m de hauteur; les tours
de la façade sud sont demeurées inachevées. A l'intérieur, un ancien
jubé de la Renaissance ,
qui sert de tribune Ă l'orgue, les tombeaux
du cardinal Cheverus et de Mgr d'Aviau, quelques beaux tableaux. A 30 m
du chevet de l'église s'élève la tour de
Pey-Berland, construite en 1440 par l'archevĂŞque de ce nom, haute de 47,50
m et surmontée d'une flèche octogonale de 14 m, détruite par la foudre
en 1617.
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La
cathédrale Saint-André, à Bordeaux.
La
basilique Saint-Michel.
L'église
(basilique) Saint-Michel,
fondée en 1160 et reconstruite au XVe
siècle, avec de beaux vitraux et trois portails
richement sculptés. Le 17 février 1693, une partie de la nef s'écroula
et dut être reconstruite. Le clocher isolé,
bâti de 1472 à 1492 sur plan hexagonal par les architectes Lobas et les
entrepreneurs Reynard et Bauduchon, a 107,30 m de hauteur et 16,80 m la
base. Dans le caveau,
quelques momies remontent, dit-on, au XVIIe
siècle. La conservation extraordinaire des corps enfouis dans ce terrain
paraît due à des larves
qui dévorent la chair des cadavres sans entamer la peau. En 1768, la flèche
fut renversés par un ouragan; elle fut reconstruite par les soins de l'architecte
P. Abadie et terminée en 1855.
L'abbatiale
Sainte-Croix.
L'église (abbatiale) Sainte-Croix,
construite au XIIe siècle, est un beau
spécimen de l'art roman; elle faisait
partie d'une abbaye fondée au VIIe
siècle; le cloître où l'on avait établi
un hospice de vieillards a disparu sous des quartiers nouveaux.
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L'église
Sainte-Croix, Ă Bordeaux.
La
basilique Saint-Seurin.
La basilique
Saint-Seurin, dont la fondation remonte aux premières années du christianisme
en Gaule ,
n'est pas antérieure au XIe siècle; les
parties les plus anciennes sont le porche
occidental avec son clocher, et l'abside;
les bas côtés, les voûtes et la chapelle
Saint-Jean sont du XIIIe siècle; le portail
sud, qui date de 1247, a de belles sculptures.
L'église a 64 m de longueur sur 18 de Iargeur. La crypte
de saint Fort, avec le tombeau de ce saint et ceux de saint Amand et de
saint Seurin, est de l'époque mérovingienne ;
les autorités municipales de Bordeaux prêtaient serment sur le tombeau
de saint Fort.
Les
autres églises.
Sainte-Eulalie, bâtie par les Anglais
en 1400, était à l'origine l'église d'une
abbaye de filles remontant au XIIe siècle.
Saint-Pierre, bâtie vers 1444 ; Saint-Eloi (XVe
siècle); Saint-Bruno, ancienne église des Chartreux,
dans le style italien, avec des fresques et
de beaux tableaux, etc.
Anciennes
portes.
On a conservé à Bordeaux un assez grand
nombre d'anciennes portes. La plus
belle est la porte Saint Eloi ou de l'Hôtel de ville, qui était l'une
des quatre tours élevées aux angles de l'ancien hôtel de ville; elle
renferme la grosse cloche qui pèse 7750 kg; elle est coiffée de trois
tourelles et a 41 m de hauteur. La porte du Palais ou du Caillou, élevée
en 1494, par ordre des jurats bordelais, en mémoire de la victoire de
Charles VIII Ă Fornoue ,
se compose de deux tours rondes acculées avec une porte en arc
brisé; elle a 34 m de hauteur. Il faut citer encore la porte d'Aquitaine
ou de Saint-Julien, bâtie en 1754-1755; la porte de Bourgogne (1754),
la porte Dijaux (1748), la porte des Capucins ou Porte neuve (1744), la
porte de la Monnaie (1752).
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La
Grosse Cloche, Ă Bordeaux.
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Monuments
modernes.
Les monuments modernes sont aussi fort
nombreux et intéressants. La préfecture, qui occupait autrefois l'hôtel
de ville actuel, a été transférée en 1835 au cours du Chapeau-Rouge,
dans un hôtel bâti en 1775, par l'architecte Louis pour l'avocat général
Saige. L'hôtel de ville, ancien palais de Rohan, bâti de 1775 à 1778
sur l'emplacement du palais archiépiscopal, par Ferdinand de Rohan-Guéménée,
a remplacé, en 1833, l'ancien hôtel de Saint-Eloi. Le Palais de justice
a été construit de 1839 à 1846 sur l'emplacement du château du Hâ,
avec quatre statues colossales de Montesquieu,
L'Hospital, Malesherbes
et d'Aguesseau. La Bourse et la Douane, sur
les plans de l'architecte Gabriel, en 1749, sont
décorées de sculptures allégoriques de Claude Francin et de Wanderwoort.
En 1803, la cour de l'hôtel de la Bourse a été couverte d'un dôme;
au premier étage est la bibliothèque de la chambre de commerce. La Bourse
maritime date des années 1920.
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La
salle de spectacle du Grand-Théâtre, à Bordeaux.
L'ancien Hôtel des monnaies, bâti par
Portier en 1757, a été ensuite occupé par les Ursulines, et a été
transféré dans l'ancien séminaire de la Mission. Le Grand-Théâtre,
achevé en 1780 sur l'esplanade du château Trompette, est le plus beau
théâtre de province. Il a 88 m de longueur
sur 47 m de largeur et 19 m de hauteur, et contient 1300 places. Le Théâtre-Français
a été construit en 1800 , sur l'emplacement d'un couvent de Récollets,
près des fossés de l'Intendance. L'archevêché occupe, rue Vital-Carle,
l'ancien hĂ´tel de l'Intendance de Guyenne .
L'hôpital Saint-André, fondé en 1390, a été rebâti, de 1825 à 1829,
par Burguet, sur la place d'Armes, en face du palais de justice.
Les
places et les rues.
Les plus belles places et les promenades
de la ville sont la place ou esplanade des
Quinconces, l'une des plus vastes de France ,
sur l'emplacement du château Trompette,
ornée des statues de Montaigne
et de Montesquieu et de deux colonnes
rostrales; les allées de Tourny, qui datent de 1744 à 1753 et qui vont
de la place de la Comédie à la place Tourny, décorée de la statue de
l'intendant de Guyenne ;
le Jardin public, inauguré en 1756, avec un jardin botanique; le Parc
bordelais, inauguré en 1888;la place de la Bourse (quai du maréchal Lyautey)
avec son miroir d'eau et la fontaine en
bronze des Trois Grâces; l'esplanade Charles-De-Gaulle, les places Gambetta,
à l'extrémité du cours de l'Intendance, A. Meunier, de la République,
C. Julian, des Martyrs de la résistance et la place Gabriel, ancienne
place d'Armes où se trouvait le château du Hâ.
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Les
colonnes rostrales de l'esplanade des Quinconces, Ă Bordeaux.
Les principales rues sont la rue
Sainte-Catherine, la rue Esprit-des-Lois, la rue JudaĂŻque, la rue Georges-Mandel,
rue de Ségur, la rue de Cursol, le cours Victor-Hugo, le cours d'Albret,
le cours Georges-Clémenceau, le cours Pasteur, le quai des Chartrons,
le quai Louis XVII, le quai Richelieu, le quai de Paludate et sur la rive
droite, le quai Deschamps et le quai des Queyries. etc.
Le pont
de Pierre, commencé en 1810 et ouvert au public en 1821,réunit les
deux rives de la Garonne, entre la vieille ville et la Bastide. Il a 500
m de longueur, et se compose de dix-sept arches en maçonnerie de pierres
de taille et de briques reposant sur seize piles et deux culées en pierre.
Le pont Saint-Jean, en amont du précédent, a été bâti en 1964 et ouvert
à la circulation l'année suivante. Un pont métallique destiné au passage
du chemin de fer se trouve encore un peu plus en amont.
Les vieux quartiers de Bordeaux, ont été
inscrits en 2007 au patrimoine mondial de l'Unesco.
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L'HĂ´tel
de Ville de Bordeaux, au début du XXe
siècle.
Les
musées et les bibliothèques.
Le Musée des Beaux-Arts (musée de Bordeaux),
fondé en 1803, comprend 645 tableaux; il est surtout riche en toiles des
maîtres flamands, Rembrandt,
Rubens (Martyr de Saint-Just), Snyders,
Téniers (l'Evocation), Van
Dyck, etc. : il faut citer quelques tableaux des grands maîtres italiens,
du Corrège, du Caravage,
du Guerchin, des Carrache,
du Guide, un beau tableau du Pérugin,
quelques, toiles remarquables du Titien (la
Femme adultère), de beaux Murillo (Don
Luis de Haro); enfin l'Ecole française moderne est bien représentée
par des toiles de Brascassat, de Corot,
de Cogniet, de Daubigny, de Diaz, de Delacroix,
de Vernet, de Baudry, de Bouguereau,
Matisse, Picasso, Dufy, etc.
Le Musée d'Aquitaine (musée archéologique
et ethnographique), fondé par Jouannet, l'auteur de la Statistique
de la Gironde, se compose principalement des objets recueillis dans
les fouilles opérées à Bordeaux et dans le département (de la Préhistoire
au Moyen âge).
Le Musée d'histoire naturelle, fondé
en 1805 par une donation de Journu Auber, comte de Tustal, est installé
au Jardin public, dans l'ancien hĂ´tel de l'Isle-ferme.
Autres musées : le musée des arts décoratifs
(dans l'ancien hôtel de Lalande), le musée des douanes (place de la Bourse),
le musée d'ethnographie, le musée d'art contemporain (dans un ancienne
halle aux épices ,
inauguré en 1983).
La Bibliothèque, fondée en 1768 par J.-J.
Bel, conseiller au parlement, comprend notamment, parmi les livres précieux,
un exemplaire des Essais
de Montaigne, avec des corrections de la main
de l'auteur.
Les Archives du département de la Gironde
occupent un bel édifice rue d'Aviau; elles sont riches surtout en archives
ecclésiastiques et en documents relatifs à l'Intendance de Guyenne .
Les Archives municipales de Bordeaux ont été en partie détruites par
un incendie en 1862; on a pu sauver cependant les registres les plus précieux,
le recueil des Privilèges de Bordeaux appelé Livre des Bouillons,
les Coutumes de Bordeaux, les Registres de la Jurade, qui,
imprimés par les soins de la municipalité de Bordeaux, forment
une collection des plus précieuses pour l'histoire de Bordeaux.
On peut encore mentionner le centre de
documentation Jean-Moulin, consacré à la Seconde guerre mondiale.
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Le
port de Bordeaux, par Eugène Louis Boudin (1874).
Le
port.
Bordeaux possède un grand port
sur l'Océan, réparti sur plusieurs sites (au total, cela représente
9 millions de tonnes de marchandises, dont la moitié d'hydrocarbures,
impliquant plus de 1500 navires par an). Le principal port étant le terminal
de Verdon, la ville proprement dite disposant du port de la Lune : bien
que situé à près de 100 km de la mer, ce-dernier reçoit à l'aide de
la marée
des navires du plus fort tonnage, auxquels il offre en tout temps une profondeur
de 6 m et de 12 m à marée haute. Sous le second Empire et la troisième
République, de grands travaux ont été entrepris pour l'amélioration
du port : il a été recreusé avec soin et ses quais ont été repris
en sous-oeuvre. En 1855, on a terminé 900 m de quais verticaux, commencés
en 1845; en 1873, on en a construit 200 de plus aux Chartrons. On les a
continués ensuiter sur une longueur de 1600 m. (Léon Cadier).
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Frédéric
Dalléas et Stéphanie Sauer, Bordeaux en quelques jours,
Lonely Planet, 2011.
Collectif,
Guide Vert Week-end Bordeaux, Michelin Editions du Voyage,
2010.
Anne
garde et Laure Vernière, Bordeaux : Capitale lumineuse,
Editions Assouline, 2008. - Bordeaux a longtemps
suscité de troubles et profondes passions chez les poètes, avec son infranchissable
façade classique du XVIIIe siècle d'une parfaite beauté, ses vieux quartiers
aux ruelles sombres et son vaste fleuve limoneux. Après avoir été au
coeur d'un négoce maritime international florissant, au XXe siècle la
ville portuaire est devenue un temps "la belle endormie". Aujourd'hui,
radicalement rajeunie, sans rien perdre de sa séduction naturelle, Bordeaux
rejette avec audace l'uniformité et ne craint ni la modernité, ni le
mélange des genres. Son élégante diversité, ses architectures nobles
et populaires et ses espaces redessinés créent d'étonnantes perspectives.
Le double regard photographique et littéraire d'Anne Garde et de Laure
Vernière répond avec liberté à cette nouvelle mise en scène de la
ville. Photographies couleur et noir et blanc, fiction et réalité dans
les textes, construisent un voyage dans un Bordeaux redevenu une capitale
vivante, organique, changeante et lumineuse.
Caroline
Cuny, Alice Clark, Bordeaux, France, Gallimard, 2002..
Jacques
Clemens, Bordeaux, Editions Alan Sutton, 2005.
Hubert
Bonin, Les tabous de Bordeaux, Le Festin, 2010. - Il
est des faits dont on ne discute pas, des choses que l'on n'ose dire, que
cela soit par crainte, par respect ou par pudeur. Il y a des tabous en
somme : ce sont ces points obscurs dans l'histoire de la ville que l'on
ne perçoit pas toujours comme tels, enfouis sous un discours consensuel,
politiquement correct, faits pour rassurer et assurer à la cité une façade
honnĂŞte et respectable. MĂŞme si certains de ces tabous se brisent aujourd'hui,
comment expliquer qu'ils aient perduré si longtemps? Quant aux autres,
pourquoi un tel silence autour d'eux ? La Traite des Noirs, l'Occupation
et ses personnalités politiques controversées, le « système Chaban
», l'illusion du « Grand port », le modèle économique du vin, l'effondrement
de la grande bourgeoisie économique et les mutations de l'esprit d entreprise
bordelais, l'histoire du grand quotidien local Sud-Ouest, la pertinence
et l'impact de la politique culturelle de la Ville… sont autant de thèmes
qu'Hubert Bonin (ré)interroge enfin. Huit thèmes, huit tabous qui ouvrent
la voie à des débats sur la mémoire, la perception, les lieux communs,
les polémiques et l'image de marque de la capitale girondine. En mobilisant
l'Histoire au service de la compréhension du temps présent, cet ouvrage
tente de secouer les pesanteurs qui oblitèrent une part de notre passé
commun. Loin de donner des leçons, de faire la morale ou d'engager de
vaines polémiques, il cherche avant tout, en abordant ces « recherches
qui fâchent », à titiller les esprits et à engager la discussion.
Patrice
Godier et Marcel Roncayolo, Bordeaux métropole, un futur sans rupture,
Parenthèses, 2009.
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Site
de la Ville
de Bordeaux.
Site
de l'Office du tourisme
de Bordeaux.
Page
sur Bordeaux, Port de
la Lune (site sur patrimoine mondial de l'Unesco).
Site
du Musée d'ethnologie de
Bordeaux (MEB).
Pages de l'Edition
de Bordeaux du site 20minutes.fr.
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