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Littérature > La France  > Le Moyen âge > La littérature bourgeoise et satirique
La littérature française médiévale
Les fabliaux
Fabliau (de flabel, dérivé de fabula) est le diminutif de fable. Ce mot est une forme dialectale que l'on trouve dans les manuscrits' picards du mot fableau (comme tabliau y remplace tableau, ou comme morciau est mis à la place de morceau, etc.), qu'il aurait convenu de leur laisser si l'usage n'en avait pas voulu autrement.

Quoi qu'il en soit, les fabliaux sont des contes plaisants en vers (le plus souvent en vers de huit syllabes rimant deux à deux) qui ont eu au Moyen âge en France et dans tous les pays d'Europe, une vogue considérable. Même on peut dire qu'après les grandes chansons de geste, et pendant les XIIIe et XIVe siècles, ils ont été une des formes les plus importantes et les plus personnelles de la littérature française.  Il nous en est parvenu environ 150.

Il convient de distinguer du fabliau une foule de poésies légères qu'on a souvent, à tort, confondues avec lui et qui ont un caractère tout particulier - tels sont les miracles et contes dévots, les lais, les dits, les débats, les moralités, les chroniques historiques rimées - et d'adopter pour eux la définition si nette de Anatole de Montaiglon : 

« Le fabliau est un récit plutôt comique d'une aventure réelle ou possible, même avec des exagérations, qui se passe dans les données de la vie humaine moyenne. » 
C'est, en tout cas, un produit typique de la littérature française, l'expression la plus ancienne et la plus populaire de l'esprit satirique qu'elle a pu manifester à diverses époques; le trait le plus caractéristique de fabliaux est de s'attaquer à toutes les conditions sociales. 
« Le petit vers des fabliaux, écrit Taine, trotte et sautille, comme un écolier en liberté, à travers toutes les choses respectées ou respectables, daubant sur les femmes, l'Église, les grands, les moines.» 
Il se gausse de la paillardise des évêques, de la gourmandise des curés, de leur ignorance, de leur friponnerie, de leur grossière galanterie; il flagelle la gloutonnerie des moines, le libertinage des religieuses, leur avidité, leur convoitise du bien d'autrui qui leur fait assiéger le lit des malades pour capter les héritages. Il n'ose attaquer aussi vivement la vie privée des seigneurs : mais il souligne avec malice les caprices bizarres de certains chevaliers et barons, leurs aventures amoureuses et la conduite assez légère des châtelaines. Par exemple, il traite sans le moindre ménagement les bourgeois et les vilains; ils ont tous les défauts avarice sordide, fourberie, ruse, grossièreté, ingratitude; ils sont outrageusement trompés par leurs femmes qui n'ont ni pudeur ni retenue; ils passent le plus clair de leur temps en querelles de ménage et en discussions d'intérêt. En somme, c'est un tableau, sinon tout à fait fidèle, du moins très complet des moeurs du temps.

Le fabliau aborde tous les tons, depuis la raillerie caustique jusqu'aux grâces les plus touchantes. Il a du naturel, de l'abondance, de la facilité, de l'enjouement, un esprit vif et libre. Il est dépourvu en général des délicatesses de la forme et des élégances de la poésie. Le style en est souvent aussi négligé que la rime. Mais le comique n'y fait jamais défaut : Il va jusqu'à la grossièreté, jusqu'à la licence. Mais c'est encore de la licence franche et naïve et point du tout cette recherche d'obscénité ou se complaisent les conteurs italiens. Quelques-uns ont la prétention de moraliser et se terminent, pour bien frapper l'auditeur, par une morale, un proverbe connu, ou même des réflexions philosophiques dans le genre de celles-ci : 

Par ce tieng  je celui a fol
Qui trop met en fance sa cure;
Fame est de trop foible nature,
De noient rit, de noient pleure,
Fame aime et het en trop poi d'eure;
Tost est ses talenz remuez
Qui fame croist, si est desvés.
Les fabliaux n'étant autre chose que des contes, il nous paraît superflu de revenir ici sur la question de leur origine. Sans doute, ils viennent presque tous de l'Orient, mais il est peu probable que leurs auteurs les aient empruntés directement à l'Orient. Ils ont dû puiser leurs sujets dans les Festa Romanorum, les Mirabilia urbis Romae, la Disciplina clericalis et les recueils de fables si nombreux au Moyen âge. Ils sont sûrement du XIIIe et du XIVe siècle; on en a écrit au XIIe siècle très probablement, mais nous n'en possédons pas d'authentique de cette époque. Les jongleurs ou fableors les récitaient ou les lisaient dans les châteaux, chez les bourgeois et même sur les places publiques. Ils eurent pendant deux cents ans un succès incontesté. Au XVe siècle, ils se transformèrent, se fondirent en détail dans les contes en prose, par exemple les Cent Nouvelles nouvelles, et furent supplantés complètement par la farce. 
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Estula

[Ce fabliau, dont nous donnons une raduction en prose, est du XIIle siècle, sans nom d'auteur].

« Il y avait jadis deux frères, qui n'avaient plus ni père ni mère pour les conseiller, ni aucun autre parent. Pauvreté était leur amie intime, car elle était souvent avec eux. C'est la chose qui fait le plus souffrir ceux qu'elle hante; il n'est pas de pire maladie. Les deux frères dont je vous parle habitaient ensemble. Une nuit qu'ils furent poussés à bout par la faim, la soif et le froid, tous maux qui s'attachent à ceux que Pauvreté tient en son pouvoir, ils se mirent à réfléchir comment ils pourraient se défendre contre Pauvreté qui les harcelait, et leur faisait souvent éprouver ses privations.

Un homme que tout le monde savait très riche habitait près d'eux. Ils sont pauvres, et le riche est sot. Il a des choux dans son potager et des brebis dans son étable. Ils tournent donc leurs pas de ce côté. Pauvreté fait perdre la tête à bien des gens. L'un jette un sac sur son cou, l'autre prend un couteau à la main, et tous deux se mettent en route. L'un entre directement dans le jardin, et sans plus tarder se met à couper des choux. L'autre se dirige vers la bergerie pour y pénétrer, et fait si bien qu'il en ouvre la porte; il lui semble que l'affaire va pour le mieux, et il se met à tâter les moutons pour chercher le plus gras. Mais on était encore sur pied dans la maison, et l'on entendit le bruit de la porte du bercail lorsqu'elle s'ouvrit. 

Le bourgeois appela son fils et lui dit : « Va voir à la cour si tout est bien en ordre, et appelle le chien de garde. » Le chien s'appelait Estula. Heureusement pour les deux frères, il n'était pas cette nuit-là dans la cour. Le fils était aux écoutes; il ouvrit la porte donnant sur la cour, et cria : « Estula! Estula! » Celui qui était dans la bergerie répondit : « Oui, certainement, je suis ici. » L'obscurité était très profonde, de sorte que le jeune homme ne pouvait pas voir celui qui lui avait répondu. Il crut bien réellement que c'était le chien, et, sans perdre de temps, il rentra précipitamment dans la maison, tout bouleversé de peur : « Qu'as-tu, beau fils? » lui dit le père. - « Foi que je dois à ma mère, Estula vient de me parler. - Qui? notre chien? - Parfaitement, je le jure; et si vous ne voulez pas m'en croire, appelez-le et vous l'entendrez aussitôt parler. » Le bourgeois s'empresse d'aller voir cette merveille, entre dans la cour et appelle son chien Estula.

Et le voleur, qui ne se doute de rien, dit : « Certainement, je suis ici. » Le bourgeois en est stupéfait : « Fils, » dit-il, « par tous les saints et par toutes les saintes, j'ai entendu bien des choses surprenantes : jamais je n'en ai entendu de pareilles; va vite conter cela au curé, ramène-le avec toi et dis-lui qu'il apporte son étole et de l'eau bénite. » Le jeune homme, au plus vite qu'il peut, court jusqu'au presbytère, et sans perdre de temps, s'adressant aussitôt au curé, il lui dit : « Sire, venez à la maison entendre des choses merveilleuses; jamais vous n'avez entendu les pareilles. Prenez l'étole à votre cou. » Le prêtre lui dit : « Tu es complètement fou de vouloir me conduire dehors à cette heure. Je suis nu-pieds, je n'y pourrais aller. » Et l'autre lui répond aussitôt : « Si, vous viendrez; je vous porterai ».

Le prêtre prend l'étole et, sans plus discuter, monte sur les épaules du jeune homme, qui se remet en route; lorsqu'ils furent près de la maison, afin d'arriver plus vite, ils prirent directement par le sentier par où étaient descendus les maraudeurs. Celui qui était en train de cueillir les choux vit la forme blanche du prêtre et, pensant que c'était son compagnon qui rapportait quelque butin, il lui demanda tout joyeux « Apportes-tu quelque chose? - Sûrement oui », répondit le jeune homme, croyant que c'était son père qui avait parlé. - « Vite! » reprend l'autre, « jette-le bas, mon couteau est bien émoulu, je l'ai fait aiguiser hier à la forge : nous allons lui couper la gorge. » Quand le prêtre l'entendit, il fut convaincu qu'on l'avait trahi, il sauta à terre et s'enfuit tout éperdu. Mais son surplis s'accrocha à un pieu et y resta, car le prêtre n'osa pas s'arrêter pour le décrocher. 

Celui qui avait cueilli les choux n'était pas moins ébahi que celui qui s'enfuyait à cause de lui, car il ne savait ce qu'il en était. Toutefois, il alla prendre l'objet blanc qu'il voyait suspendu au pieu, et s'aperçut que c'était un surplis. A ce moment, son frère sortit de la bergerie avec un mouton et appela son compagnon, qui avait son sac plein de choux. Tous deux avaient les épaules bien chargées; ils ne firent pas là plus long conte et reprirent le chemin de leur maison, qui était proche. Arrivés chez eux, celui qui avait pris le surplis fit voir son butin, et tous deux rirent et plaisantèrent de bon coeur, car le rire, qui avant leur était interdit, leur était maintenant rendu.

En peu de temps Dieu fait de l'ouvrage. Tel rit le matin qui le soir pleure, et tel est chagrin le soir qui est joyeux le matin. » 

Nous avons montré à la page sur les contes comment ils passèrent en Italie où les conteurs leur firent de larges emprunts, en Angleterre où ils furent imités par Chaucer. Notons simplement ici que plusieurs fabliaux ont été puisés dans le Dolopathos et le Castoyement. Beaucoup de nouvelles italiennes sont des imitations des fabliaux français. Les emprunts des écrivains français aux trouvères sont également nombreux. On citera plus bas les noms de Rabelais, La Fontaine, ou de Molière. mais on peut déjà noter que la fable de l'Huître par Boileau, par exemple, n'est autre chose que le fabliau des Trois Dames qui trouvèrent un anel, ou encore que le fameux conte de Zadig de Voltaire est en grande partie tiré du fabliau de l'Ermite. Les Opéras comiques la Fée Urgèle, les Souliers mordorés, le Magicien, Aucassin et Nicolette sont imités des fabliaux de la Vieille truande, des Deux Changeurs, du Pauvre clerc et d'Aucassin. Les Bijoux indiscrets rappellent le Chevalier qui faisait parler les ânes muets. La Gageure de Sedaine est puisée dans le fabliau du Pécheur de Pont-sur-Seine.

Les fabliaux sont pour la plupart anonymes. On connaît les noms de quelques auteurs, mais comme on ne possède aucun détail sur leur vie, ces noms même ne nous apprennent rien. Rutebeuf est le plus célèbre des fableors. On lui doit entre autres : Charlot le Juif (auquel Rabelais a dû certaines ses tirades sur les papelards, sur membrer, démembrer, remembrer...), la Dame qui alla trois fois entour le moutier, Frère Denize le Cordelier (qu'on retrouve dans les Cent Nouvelles nouvelles, dans la Reine de Navarre, dans l'Apologie pour Hérodote, dans les Cordeliers de Catalogne, de La Fontaine, auteur à propos duquel on n'en finirait pas, il est vrai, si l'on voulait citer toutes les imitations de fabliaux qu'il a faites), le Testament de l'Âne, qui est une satire mordante, etc. 

A Jean Bedel ou Jean de Boves on attribue : les Souhaits desvez, Brunain la vache au prêtre, le Convoiteux et l'Envieux, Gombert et les Deux Clercs, etc. Jean de Condé est l'auteur du Clerc qui se cacha derrière le coffre, du Sentier battu; Jacques de Baisieux, des Trois Chevaliers et la chemise; Hugues Piaucelle, d'Estourmi, de Sire Hain et dame Anieuse; Henri d'Andeli, du Lai d'Aristote, un des contes les plus célèbres du Moyen âge qui provient des traditions orientales; Hugues le Roi, du Vair Palefroi; Gautier, du Prêtre teint; Guillaume, clerc de Normandie, de la Male Honte; Garin ou Guérin, du Curé qui mangea les mûres, des Tresses; Durant, des Trois Bossus; Bernier, de la Housse partie, etc. 

Parmi les fabliaux anonymes les plus connus, nous citerons : le Mantel mautaillé, arrivé par plusieurs intermédiaires à l'Arioste qui en a tiré son épisode de la Coupe enchantée et imité ensuite par La Fontaine; Du Vilain mire, le prototype du Médecin malgré lui, de Molière, (redevable par ailleurs pour quelques scènes du Malade imaginaire à celui qui est intitulé la Bourse pleine de sens), qui se retrouve dans les Serées, de Bouchet, dans les Contes secrets de Russie, dans les Facéties du Pogge, etc.; Du Vilain qui conquit le Paradis par plait,  un des fabliaux les plus remarquables par la conception et par la hardiesse des idées et aussi un des plus répandus dans la littérature populaire, reproduit par Le Sage dans Gil Blas, par les conteurs italiens Malespini, Pogge et autres, par les Contes secrets russes, etc.; Auberée, les Quatre Souhaits de Martin, qui viennent de Bidpaï, etc. (R. S.).



En bibliothèque. - Longtemps les fabliaux sont demeurés dans l'oubli. Le premier, le président Fauchet les en a tirés en signalant leur intérêt et leur importance littéraire dans ses Poésies françaises avant l'an 1300 (Paris, 1581). En 1746, le comte de Caylus leur consacra une étude (Mémoires de l'Académie des inscriptions, t. XX). Depuis on en a publié des recueils de plus en plus parfaits, et ils ont reconquis dans l'histoire littéraire toute la place qu'ils y devaient occuper :

Voici la bibliographie de ces recueils : Fabliaux et Contes, édités par Barbazan (Paris et Amsterdam, 1756, 3 vol. in-12); Fabliaux ou Contes du XIIe et du XIIIe siècles, traduits on extraits par Le Grand d'Aussy (Paris, 1779-1781, 4 vol. in-8; nouv. édit., 1829, 5 vol. in-8); Choix de Fabliaux mis en vers, par Imbert (Paris, 1788, 2 vol. in-12); Fabliaux or Tales, trad. en vers anglais du recueil de Le Grand, par Way (Londres, 1796-1800, 2 vol. in-8); Fabliaux et Contes des poètes français des XIIe-XIVe siècles, édit. par Méon (Paris, 1808, 4 vol. in-8); nouveau recueil du même (Paris, 1823, 2 vol. in-8); F. Michel, Lais inédits des XIIe et XIIIe siècles (Paris, 1836, in-12); Robert, Fabliaux inédits (Paris, 1834, in-8); Jubinal, Nouveau Recueil de contes, dits fabliaux, etc. (Paris, 1839, in-8); Th. Wright, Anecdota literaria (Londres, 1844, in-8). Anatole de Montaiglon et Raynaud ont donné la seule édition vraiment correcte et désormais définitive des Fabliaux (Puis, 1872-1890, 6 vol. in-8), car la collection de Barbazan est très incomplète, celle de Méon est confuse et trop compréhensive, les analyses de Le Grand d'Aussy sont souvent infidèles et les traductions en vers d'Imbert, de Gudin et autres ne font que les défigurer.

Daunou, Discours sur l'état des lettres, dans Histoire littéraire de la France, t. XVI, pp. 224 et suiv. - J. V. Leclerc, Fabliaux, dans Hist. litt. de la France, t. XXIII, pp. 69 et suiv.; Paris, 1856, in-4. - A. de Montaiglon, Préface à son édition des Fabliaux; Paris, 1812, in-8. - Formentin, Essai sur les fabliaux français des XIIe et XIIIe siècles; Saint-Etienne, 1877, in-8. - Benoiston de Chateauneuf, Essai sur la poésie et les poètes français aux XIIe, XIIIe et XIVe siècles; Paris, 1815, in-8. - Le Roquefort, De l'État de la, poésie française dans les XIIe et XIIIe siècles; Paris, 1821, in-8. - Auguïs, les Poètes français depuis le XIIe siècle; Paris, 1824, 6 vol. in-8. - Gudin, Recherches sur l'origine des contes; Paris, 1803, 2 vol, in-8. - Aubertin, Histoire de la langue et de la littérature françaises au Moyen âge; Paris, 1876-1878,2 vol. in-8. - A. Keller, Romwart. Beiträge zur Kunde mittelalterlicher Dichtung; Mannheim, 1844, in-8. - Dinaux, Trouvères, jongleurs et ménestrels; Valenciennes et Paris, 1837-1843, 3 vol. in-8, - De la Rue, Essais historiques sur les bardes, les jongleurs et les trouvères; Caen, 1881, 3 vol. in-8. - Meray, la Vie au temps des Trouvères; Paris, 1873, in-12. - Du même, la Vie au temps des cours d'amour; Paris, 1876, in-8.

Le Mémoire de Caylus sur les fabliaux, dans le tome XX des Mémoires de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, page 352; le Cours d'Histoire de la littérature au moyen âge par Villemain; l'analyse du Cours d'Ampère (1839) sur les origines de nos Fabliaux, dans le Journal général de l'Instruction publique; le tome XXIII de l'Histoire littéraire de la France, publié par l'Académie des Inscriptions, où Victor Leclerc a consacré une intéressante notice aux fabliaux.

En librairie - Contes et fabliaux de la vieille Lithuanie, Le Rocher, 2003. - Les fabliaux du Moyen âge, Classiques Hatier, 2002. - Robert Boudet, Fabliaux du Moyen âge, adaptés pour le théâtre, L'Ecole des Loisirs, 2001. - Collectif, Farces et fabliaux du Moyen âge, L'Ecole des Loisirs, 2001. - Violette Aignan, 25 fabliaux, Gallimard, 2001. - Hamou Belhalfaoui et Nina Hayat, Contes au petit frère (contes et fabliaux d'Algérie), L'Harmattan, 1996. - Fabliaux et contes du Moyen âge, Le Livre de Poche, 1987.

Alexandre Bidon-Lorcin, Le quotidien au temps des fabliaux (espaces médiévaux), Picard, 2003. - Kaercher, La Ruse féminine dans ses aspects sociologiques, idéologiques et narratifs dans les fabliaux du Moyen âge, Presses universitaires du Septentrion, 1998. - Gabriel Bianciotto et M. Salvat, Epopée animale, fable, fabliau (Cahiers d'études médiévale t. 2 et 3), 1995. 

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Dictionnaire Le monde des textes
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