| En bibliothèque - Pembertona publié : View of sir lsaac Newton's philosophy, Londres, 1728 in-4°. Et, parmi ses autres écrits on cite, en 1741, un opuscule sur le théorème de Cotes, qui a contribué à établir, selon Montucla, que les découvertes mêmes de Newton se trouvent dans Barrow et Fermat, et celles de ces derniers dans Archimède; Cours de physiologie en vingt leçons, Londres, 1773; De facultate oculi qua ad diversas rerum conspectarum distantias se accommodas, Gaeltingen. 1751, in-4°; Observations sur la poésie, spécialement sur la poésie épique (à I'occasion du poème Léonidas, de Glover); Plan d'un État libre, ayant un roi à sa tête inédit; Sur l'ode des Anciens, morceau inséré dans la préface de la traduction de Pindare par West; Sur la dispute concernant les fluxions, dans le deuxième volume des Oeuvres de Robins (Pemberton avait beaucoup contribué à faire connaître ce savant encore obscur); Sur la réformation du calendrier; Sur la réduction du poids et des mesures à un seul étalon; Dissertation sur les éclipses, etc. De nombreux mémoires communiqués par lui à la société royale sont imprimés dans les Transactions philosophiques, du 32e au au 62e volume. Il soutint une longue controverse avec Philalethes Cambrigiensis (le docteur Jurin), dans les Ouvrages des savants, de 1737,1738 et 1739. Onlui doit une édition perfectionnée de la Pharmacopée anglaise, qu'il donna sur l'invitation du collège des médecins de Londres, 1746, in-8; traduite en français, Paris, 1761, in-4°. Après sa mort, on trouva parmi ses papiers plusieurs écrits notables, entre autres : Histoire abrégée de la trigonométrie, depuis Ménélas jusqu'à Napier; - Commentaire sur une traduction anglaise des Principia de Newton; - Dissertation sur la vis d'Archimède; - Perfectionnement du jaugeage; - Dissertations sur la projection sphérique, sur celle de Mercator; - Notations de divers problèmes d'astronomie appliqués surtout à la navigation, sur le calcul de la marche d'une comète dans une orbite parabolique. |