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Arétalogues, nom donné à certains philosophes de l'ancienne Rome qui fréquentaient les tables des grands et des riches, soit parce qu'ils y payaient leur écot en discours sur la vertu (aretè), soit parce qu'ils cherchaient à s'y rendre agréables (aretos). Ce métier les ravalait au niveau des plus bas parasites, comme l'indique un passage de Suétone (Aug., 74), où il est dit qu'Auguste, pour égayer ses soupers, " y appelait des histrions, des danseurs et des arétalogues". |
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