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Animaux > Vertébrés
Les Oiseaux
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Anatomie
Physiologie
Comportement
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Classification
Les Oiseaux (du latin aucellus; de avis, même sens) constituent une classe d'animaux de l'embranchement des vertébrés et sont caractérisés par leur circulation à sang chaud et dont la température est constante, par leur reproduction essentiellement ovipare, et par leurs membres-thoraciques transformés en ailes, capables, dans la règle de porter l'animal à l'allure du vol. Ils sont couvert de plumes.

Le mécanisme du vol s'appuie tout à la fois sur une force considérable et une grande légèreté. Aussi, en règle, le corps des oiseaux est-il d'un poids médiocre par rapport à leur taille, et les muscles de la poitrine sont-ils extraordinairement développés. 
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Mouettes.
Un couple de mouettes venues prendre un peu de repos sur une embarcation sur les rives
du Bosphore, à Istanbul.

Le squelette est disposé pour donner attache à ces muscles; le sternum, toujours très long, possède chez les oiseaux voiliers une grande avance antérieure appelée  bréchet, qui manque plus ou moins complètement chez les oiseaux coureurs, et ceux-là ont alors les os et les muscles des membres postérieurs extrêmement puissants. Les os longs sont épais, remplis de moelle comme ceux des mammifères; chez les oiseaux voiliers, au contraire, les os longs sont creux, pleins de cavités aériennes, communiquant avec d'autres cavités du corps, et on les dit pneumatisés

Le squelette rapproche les oiseaux des reptiles, par la complication des os de l'épaule et de la mâchoire à son articulation (suspenseur du maxillaire inférieur ou os carré; clavicules et os coracoïdes, et modification de l'omoplate). La colonne vertébrale n'est pas articulée dans la région dorsale; les vertèbres ne sont pas mobiles; le bassin, long et étroit, remonte très haut le long des flancs, et ses pièces sont soudées entre elles. Aussi le torse des oiseaux n'est-il susceptible d'aucun mouvement de flexion, ce qui donne une force énorme à toute la charpente osseuse.

L'aile est composée par un humérus volumineux, un radius et un cubitus plus ou moins parallèles, puis par le carpe et des phalanges, dont la principale modification porte toujours sur l'allongement des parties. Les membres postérieurs ont le fémur ordinairement court, le tibia long, le tarse plus ou moins développé des phalanges, dont le dernier article porte des griffes. Le cou, dont la longueur est extrêmement variable et dépend du nombre des vertèbres cervicales, s'articule avec le crâne par un seul condyle_occipital (caractère important). Le crâne est une capsule arrondie, dont les os sont soudés, les os de la face se projettent en avant pour constituer le bec, et gardent, par rapport au crâne, une certaine mobilité. L'os hyoïde, très développé se rapproche beaucoup de celui des reptiles sauriens.

Le plumage des oiseaux est un revêtement de nature épidermique, analogue aux ongles et aux poils des mammifères. Chaque plume naît, comme un poil, dans un follicule du derme, mais les grandes plumes des ailes et de la queue (rémiges, rectrices) s'implantent souvent dans les os eux-mêmes, et leur base est recouverte par d'autres plumes moins fortes (tectrices), qui forment les couvertures des ailes, etc. Les plumes, même chez les oiseaux les plus emplumés, ne couvrent pas absolument toute la peau par leurs racines, mais sont disposées par places, d'une façon régulière; on appelle pterylae les espaces ainsi couverts, et apteria les espaces nus. 

Des écussons, des écailles, des gaines cornées revêtent la région des tarses. La disposition des pieds, le nombre des doigts (quatre en général), rejetés en avant ou en arrière, par nombre pair ou non, unis ou non par une membrane, garnis d'ongles obtus ou de serres crochues, ou d'ongles droits, servent très utilement pour la classification et donnent en général de très bons renseignements sur le genre de vie de l'oiseau, comme la nature du bec.

Les organes des sens sont très développés; les yeux, parmi eux, sont les plus parfaits. S'ils sont peu mobiles dans les orbites, les mouvements très vifs de la tête et des paupières y suppléent, de même qu'une grande complication de la rétine et de la choroïde, avec leur peigne, permet à la vue de s'accommoder aux distances, et que la membrane nictitante, faisant office de seconde paupière, adoucit l'excès de lumière, etc. Les oreilles externes sont réduites à une ouverture dissimulée sous les plumes et par laquelle débouche le conduit auditif externe, qui fait suite au tympan, et l'oreille interne, aussi compliquée que chez les autres vertébrés, suit l'oreille moyenne (caisse du tympan) avec sa trompe d'Eustache, etc. Le sens olfactif a son siège dans les cornets olfactifs des fosses nasales; le sens gustatif semble résider à la base de la langue.

L'appareil digestif est loin d'être aussi parfait que chez les mammifères : l'absence d'un vrai estomac est suppléée par la présence d'un jabot, d'un ventricule succenturié, d'un gésier, tous renflements successifs et inégaux du tube intestinal, destinés à ramollir, à malaxer les aliments, qui sont ensuite élaborés dans l'intestin, dont la partie supérieure (intestin moyen) est en rapport avec un foie et un pancréas, et dont la seconde portion, dite caecale, débouche avec les uretères dans un cloaque, auquel fait suite le rectum.

Oiseau : 1. Aile déployée (a, rémiges primaires; b, rémiges secondaires; e, tectrices; d, rectrices). - 2. Encéphale. - 3. Squelette général (a, crâne ; b, colonne vertébrale; c, humérus; d, radius et cubitus; e, doigts; f, sternum; g, fémur; h, tibia; i, métatarse; k, doigts). - G. Sternum. - 5. Syrinx ouvert. - 6. Poumons et sacs aériens. - 7. Appareil digestif (a, oesophage; b, jabot; c, gésier; d, ventricule succenturié; e, intestin ; f, foie). - 8. Estomac.
Le régime des oiseaux est extraordinairement varié, et la classe présente des spécimens aussi bien de carnivores que de phytophages et d'omnivores. Chez beaucoup de petits oiseaux, le régime varie suivant la saison : granivores ou frugivores en été, ils sont insectivores au printemps, suivant les ressources de la saison. Il y a de minuscules oiseaux de proie (hierax) et d'énormes oiseaux phytophages (autruche, casoar, etc.), qui vivent de champignons, de racines, mais d'une façon générale avalent tous les petits animaux qu'ils rencontrent. L'activité digestive extraordinaire des oiseaux les oblige à manger pour ainsi dire sans cesse, et les hirondelles, martinets et engoulevents, détruisent des quantités énormes d'insectes; chaque jour, un individu en consomme facilement la moitié de son poids. Les gros mangeurs de charognes, comme les vautours et les gypaètes, digèrent en quelques heures de gros os entiers, etc.

La plupart des oiseaux sont d'une intelligence très grande; beaucoup ont le sentiment de la sociabilité, nichent en commun, chassent ou pâturent en troupes; d'autres entreprennent à des époques régulières, pouvant varier un peu avec les écarts de saisons, des voyages extraordinairement longs (migrations). Beaucoup d'espèces, qui nichent dans le nord de l'Europe, hivernent jusque dans les îles de l'Inde, puis reviennent à la belle saison. Ce sens extraordinaire  de l'orientation a été mis à profit (pigeons voyageurs). 

La capacité des oiseaux à s'orienter lors de leurs voyages sur de longues distance pourrait en partie provenir de leur capacité à détecter l'intensité et la direction du champ magnétique terrestre. Cette capacité s'expliquerait par deux mécanismes complémentaires. L'un est lié à l'action de la lumière. Les molécules de rhodopsine présentes dans les cellules de la rétine de l'oeil absorbent les photons et deviennent de petits aimants transitoires, s'alignant dans la direction du champ. Ce mécanisme serait complété par l'effet produit par les cristaux de magnétite présents dans le crâne de l'oiseau.
En outre, la faculté de voler longtemps acquiert un tel développement, chez certains, que l'on rencontre les oiseaux marins à plusieurs milliers de kilomètres de toutes côtes; mais, comme ce sont des palmipèdes, il est admissible qu'ils se reposent sur l'eau comme les mouettes et les pétrels, qui vivent complètement en haute mer.

C'est dans tout ce qui se rapporte à la reproduction de leur espèce que les oiseaux déploient la plus merveilleuse industrie. Les nids de beaucoup d'entre eux sont de véritables chefs-d'oeuvre. En règle, la femelle couve elle-même ses oeufs, et le mâle va à la récolte des aliments. Chez certains, les deux sexes couvent tour à tour.
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Flamants, dans un zoo des Bermudes.

On connaît environ 8800 espèces d'oiseaux répandues sur le globe et cinq cents fossiles depuis l'époque jurassique. Les types actuels possèdent leurs plus beaux représentants dans les régions tropicales du globe ou les hautes montagnes de l'Asie. L'Amérique du Sud avec ses oiseaux-mouches, la région néo-guinéenne avec ses paradisiers, le Tibet avec ses faisans comptent dans les régions les plus favorisées sous ce rapport. L'industrie et le commerce tirent grand parti des oiseaux; leurs dépouilles sont utilisées dans l'économie domestique, la plumasserie, la fourrure. Le guano est un produit important de commerce, etc. L'alimentation, en dehors des oiseaux domestiques, tire un grand parti des gallinacés et des pigeons. -
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La longévité des oiseaux

L'âge auquel peut atteindre un oiseau parait être en rapport avec sa taille, et peut-être avec la durée de son développement. En général, les oiseaux vivent longtemps. On connaît quelques exemples de leur longévité. Girardin parle d'un héron qui avait au moins cinquante-deux ans lorsqu'il fut tué, ce qu'attestaient les vervelles ou anneaux qu'il portait à l'une de ses pattes. Pris pour la première fois en 1731, dans une chasse au faucon, ce héron fut abattu d'un coup de fusil, près de Saint-Dié, en 1733. Comme il était plein de vigueur au moment où il perdit la vie, on est en droit d'en conjecturer qu'il aurait pu fournir une plus longue carrière. La preuve de la longévité des cigognes en liberté est également acquise : on cite un couple qui était venu nicher sur le même toit pendant plus de quarante ans.

Si nos connaissances relativement à la durée de la vie des oiseaux en pleine indépendance sont fort bornées, elles sont plus étendues en ce qui concerne les espèces que nous élevons en domesticité ou que nous retenons captives. Cependant, ici, la longévité d'un oiseau dépendant beaucoup des soins qu'on lui donne, des conditions plus ou moins favorables dont on l'entoure, doit nécessairement présenter des variations. On cite des perroquets qui ont survécu à plusieurs générations, et un corbeau qui était depuis quatre-vingt deux ans dans la même famille. On a vu des aigles résister pendant trente ans à la captivité; des rossignols, des pinsons, des chardonnerets, des serins, vivre douze, quinze, dix-huit et vingt ans en cage.

La classification des oiseaux présente des difficultés extraordinaires. Les anciennes classifications s'appuyaient surtout sur les caractères extérieurs : bec, plumes, pieds. Les classifications plus récentes ont péché par un excès contraire; en attribuant à l'anatomie interne une trop grande importance, et le rétablissement de la nomenclature ayant, pour obéir aux lois de priorité, fait changer la plupart des noms de genres, il est extrêmement difficile de s'y retrouver.

La nomenclature longtemps adoptée a été celle de Sharpe (Catalogue of the Birds in the British Museum (1874-1899), qui divisait les oiseaux en ordres : palmipèdes, échassiers, gallinacés, colombins ou pigeons, grimpeurs, passereaux, rapaces, coureurs. Les termes de cette classification, comme ceux d'autres classifications élaborées jusqu'au début du XXe siècle, se retrouvent encore dans le langage courant, même si d'autres classifications ont vu le jour depuis,  qui engendré des regroupements différents et un système de nomenclature plus complexe.  Ces nouvelles classifications sont fondées sur l'apparentement génétique des différentes familles; ce qui permet aussi de faire le lien entre les oiseaux actuels et les espèces disparues.

Les plus anciens fossiles qui se rapportent à la classe des Oiseaux datent du jurassique supérieur de Bavière (Archaeopteryx) et montrent, par leur longue queue, les griffes de leurs ailes, leur bec garni de dents, leurs os pleins, des rapports étroits avec les Reptiles, bien que leur peau soit déjà couverte de véritables plumes. De fait, on sait aujourd'hui que les Oiseaux sont issus d'un groupe de Dinosaures, les Saurischiens. Dans le Crétacé de l'Amérique du Nord, on trouve les Odontornithes (ou Odontoleae) avec les genres Hesperornis et Baptornis, qui pourraient former (?) le passage aux Oiseaux actuels, malgré leur bec encore pourvu de dents. Les genres lchhthyornis et Apatarnis, qui sont dans le même cas, mais dont les ailes étaient bien développées, sont encore plus voisins des Palmipèdes actuels.
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Une Grue.
Une Grue, en Tanzanie. Photos : The world Factbook.

Dès le Crétacé supérieur, en Europe et en Amérique, on trouve des Oiseaux à bec normal, dépourvu de dents (Graculavus, Laornis, Palaeotringa, etc.). Dans le tertiaire, les Oiseaux sont plus abondants et se rattachent aux types actuels. De grands Oiseaux semblables aux Autruches ont laissé leurs débris dans l'éocène de France et d'Angleterre (Gastornis, Megalornis, Dasornis). Ce qui caractérise surtout la faune tertiaire, c'est la vaste extension des types actuellement confinés dans les régions chaudes du globe. C'est ainsi que le miocène de France a possédé des Psittacidae, des Trogoneidae, des Bucerotidae, etc., et les Flamants (Paloelodus) étaient très nombreux, mais la faune de l'ancien continent est déjà distincte de celle de l'Amérique. La faune quaternaire en France se rapproche de la faune actuelle et l'on y trouve déjà des débris de la Poule domestique, puis, pendant la période glaciaire, des types arctiques (Harfang, Lagopède).

C'est surtout dans l'hémisphère austral que vivaient à cette époque les Oiseaux gigantesques et sans ailes, tels que l'Aepyornis de Madagascar, le Dinornis de la Nouvelle-Zélande; mais le Brontornis de Patagonie paraît plus ancien. Enfin la faune des îles Mascareignes (Dronte (Dodo), Pezophaps, Lequatia, etc.) ne s'est éteinte que dans les temps historiques, postérieurement à l'arrivée des Européens dans ces îles. (NLI / E. Trouessart).



Dominic Couzens, Top secret : Les oiseaux du jardin : Révélations, Delachaux et Niestlé, 2011.
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Savez-vous réellement ce qui se passe chez les oiseaux de vos jardins quand vous avez le dos tourné? Découvrez les oiseaux les plus communs grâce à des portraits, avec des infos pour les identifier et apprendre sur leur plumage, leurs chants et la façon dont vous pouvez les attirer dans votre jardin. Mais plus qu'un guide de terrain, ce livre vous révèle aussi les aspects "top secret" de leur vie privée... Ainsi découvrez : qu'on ne trouve aucun cas d'infidélité dans le couple choucas des tours; pourquoi l'oreille gauche de l'effraie des clochers est plus haute que la droite ; pourquoi on ne voit jamais de jeunes pigeons; comment le martinet noir se repose; que la pie est un des seuls oiseaux à se reconnaître dans une glace. Avec humour et indiscrétion, Dominic Couzens nous révèle les secrets des oiseaux de nos jardins. 
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Collectif, Guide des oiseaux de France et d'Europe, Larousse, 2007. - 800 espèces d'oiseaux de France et d'Europe photographiées en gros plan tels qu'on peut les observer sur le terrain, dans leur plumage le plus courant, avec en plus : des photographies pour bien distinguer juvéniles et adultes, mâles et femelles, plumage d'été et plumage d'hiver; des dessins en couleur pour mieux observer l'oiseau en vol; des photographies prises en milieu naturel pour mettre en évidence des comportements caractéristiques et ne pas confondre l'oiseau observé avec une espèce similaire; des cartes de localisation des espèces en Europe en fonction des saisons. 

Textes et légendes détaillent chaque photographie, apportent les informations indispensables sur le chant, la nidification, le régime alimentaire, l'habitat, le type de vol, les meilleures périodes d'observation...

En annexe, un tableau répertorie plus de 320 espèces rares ou occasionnelles. (couv.).

Herbert Raffaele et al., Les oiseaux des Antilles, guide d'identification Michel Quintin Editions, 2007.

André Bossus et François Charron,Guide des chants d'oiseaux d'Europe occidentale (2 CD inclus), Delachaux et Niestlé, 2004. - A la fois guide sonore et visuel, l'ouvrage est composé d'un livre (illustré de plus de 200 photos, dessins et diagrammes) et de deux CD. Il présente, décrit, analyse et compare plus de 500 types de chants ou de cris de 180 espèces d'oiseaux parmi les plus représentatives d'Europe occidentale.

Jamais on n'avait réuni, dans un guide de terrain, autant d'informations sur les chants et les cris d'oiseaux sous une forme aussi pratique et étudiée. Pour chaque espèce, cris et chants sont reproduits sous une forme graphique appelée sonogramme, correspondant à l'enregistrement du CD.

Tout en écoutant les plages sonores, le lecteur peut suivre, sur le papier, la transcription visuelle des cris et des chants : le moyen le plus sûr de reconnaître des manifestations vocales des oiseaux! (couv.).

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Tout ce qui vous sera utile pour localiser et identifier les espèces d'une manière fiable est présenté dans cet ouvrage. Ainsi, le bruant jaune, souvent perché en bordure des champs européens, est reconnaissable à sa tête, sa gorge, sa poitrine et son ventre jaunes, ainsi qu'à ses pattes chamois, son dos brun, rouille et noir, et son croupion roux. Un chapitre sera consacré à la protection des oiseaux, à leur domestication, à leur langage, et à la localisation des oiseaux en France. 

On apprendra en effet quelle attitude adopter si un oisillon tombe du nid, comment enregistrer le chant des oiseaux, quels types de jardins préfèrent-ils, comment les nourrir en hiver, pourquoi chantent-ils, De l'aigle royal qui règne sur les airs, à la mésange boréale, en passant par le flamant rose, qui aime avant tout la tranquillité, ou la chouette effraie, familière dans nos campagnes, chaque page vous permettra de vous émerveiller devant le magnifique univers des oiseaux du monde entier ! (couv.).

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Dictionnaire Les mots du vivant
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