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Les Oiseaux-Mouches
Colibris
L'ancien genre Trochilus de Linné, qui comprenait tous les Oiseaux désignés sous les noms de Colibri et d'Oiseau-Mouche, est aujourd'hui le type d'une, nombreuse famille (Trochilidés) qui renferme près de 500 espèces réparties en 127 genres, tous propres à l'Amérique chaude (région néotropicale). Cette famille, classée par Cuvier dans ses Passereaux ténuirostres, a été rapprochée, par les naturalistes modernes, des Cypselidés et des Caprimulgidés, en raison des caractères ostéologiques que les Oiseaux-Mouches présentent en commun avec les Martinets et les Engoulevents, malgré la forme du bec si différente à l'âge adulte; mais les Trochilidés sortent de l'oeuf avec un bec plus court, et qui s'allonge avec l'âge. 

Caractères.
Les caractères de la famille sont les suivants : bec grêle, cylindrique, allongé, droit on recourbé vers le bas (rarement vers le haut), quelquefois finement dentelé en scie vers la pointe; langue extensible, tubuleuse, bifide; ailes longues, pointues, suraiguës, ayant 10 pennes primaires dont la première est la plus longue; pennes secondaires réduites à six; queue de forme très variable; pattes très courtes à doigts longs et minces, à ongles crochus. Souvent des plumes squamiformes brillantes sur diverses parties du corps. La taille varie de celle d'un Martinet (Patagona, gigas) à celle d'un Bourdon, et la famille renferme les plus petits Oiseaux connus. 

La force et la longueur du bec varient beaucoup d'un genre à l'autre : il en est de même de la longueur des ailes et surtout de la forme et de la disposition des plumes caudales. Le plumage est ordinairement d'un vert cuivreux dessus avec les ailes noires, plus clair ou blanc, dessous, mais relevé chez le mâle de plastrons de plumes écailleuses à reflets brillants et irisés où toutes les couleurs du prisme sont représentées du violet au bleu saphir en passant par le grenat, l'améthyste, le rubis, la topaze et l'émeraude. Ces plastrons affectent quelquefois la forme de cravates, de huppes, d'oreilles ou d'aigrettes plus ou moins détachées du corps. Les femelles sont plus simplement vêtues, sauf dans quelques genres (Petazophora, etc.) où elles ont la même parure que le mâle : elles ont aussi la queue plus courte dans les espèces dont le mâle a les pennes caudales très allongées. Les jeunes, jusqu'à l'âge de deux ou trois ans, et les mâles en dehors du temps des amours ressemblent aux femelles, ces parures constituant leur plumage de noce.

Le squelette est construit sur le même type que celui des Martinets et indique des Oiseaux très bons voiliers, ce que confirme la forme de l'aile. Il est aujourd'hui bien prouvé, que les Oiseaux-Mouches se nourrissent non seulement du nectar des fleurs, mais surtout des petits Insectes qu'ils capturent dans la corolle de ces fleurs, à l'aide de leur langue bifide, car on trouve des débris de ces insectes dans leur gésier. Toutes les fois que l'on a essayé de les nourrir en captivité exclusivement à l'aide de miel ou d'eau sucrée, on les a vus mourir, au bout de quelques semaines, dans un état de maigreur extrême. La langue est longue et filiforme, fixée derrière le crâne par un os hyoïde grêle, semblable à celui du Pic, de telle sorte que l'Oiseau peut la faire saillir de toute la longueur du bec son extrémité bifide forme deux petites spatules qui, enduites d'une salive gluante, saisissent facilement les petits insectes et se rétractent rapidement comme mues par un ressort. On les voit aussi saisir de grosses mouches au vol et même aller chercher ces insectes dans les toiles d'araignées.

Aire géographique.
Les Oiseaux-Mouches sont répandus depuis le Sud du Canada (Trochilus colubris) jusqu'au Chili patagonien (Eustephanus galeritus), mais le plus grand nombre des espèces est propre au Mexique, aux Antilles, à la Colombie, à la Guyane, au Brésil, au Pérou et à la Bolivie. Dans la chaîne des Andes, ils s'élèvent jusqu'à 3 et 4000 m, et le genre Oreotrochilus se voit au sommet du Pichincha et du Chimborazo, volant à la limite des neiges perpétuelles. Une espèce (Eustephanus fernandensis) est propre à l'île de Juan Fernandez; d'autres se trouvent aux îles Tres Marias, mais on n'en trouve pas dans l'archipel des Galapagos. Beaucoup d'espèces sont de passage, notamment aux îles Bahamas et dans le Sud des Etats-Unis. En général, chaque espèce est cantonnée dans une région bien définie et remplacée ailleurs par des espèces du même genre ou de genres différents.

Modes de vie.
Les Oiseaux-Mouches sont des êtres d'une vivacité extrême. On les voit pendant le jour visiter les plantes couvertes de fleurs en faisant miroiter au soleil les plastrons de leur plumage qui jettent des feux comme des pierres précieuses. Leur vol bourdonnant (en anglais on les nomme humming-bird) avertit souvent de leur présence avant qu'on ait pu les apercevoir, et rappelle le bruit de l'aile de notre Sphynx bourdon (Macroglossa). Leurs mouvements ressemblent beaucoup à ceux de cet insecte, alors qu'ils se maintiennent, d'un rapide mouvement d'ailes, devant les fleurs tubuleuses, enfonçant leur bec au fond de la corolle pour y saisir les insectes. On prétend qu'ils peuvent voler le dos tourné vers le bas, cri s'aidant de la queue, ce qui est très rare chez les Oiseaux. Leur cri est strident, mais faible, et leur chant est monotone. Leur vol est si rapide que l'oeil ne peut les suivre au delà de quelques mètres : on ne les voit bien que lorsqu'ils butinent autour des fleurs ou se perchent sur une branche pour se reposer et lisser leur plumage.

Leur nid est très artistement tressé des matériaux les plus fins et tapissé extérieurement de lichens qui le dérobent à la vue au milieu des végétaux qui l'entourent. Ce nid est fixé à l'écorce d'une branche, à la face inférieure d'une grande feuille lancéolée; souvent des toiles d'araignées servent à lui donner plus de consistance, ou bien un lourd pendentif fixé à sa partie inférieure l'empêche de se renverser sous l'effort du vent lorsqu'il est simplement suspendu. Les Oréotrochiles montagnards attachent leurs nids aux rochers comme les Salanganes. Il n'y a jamais que deux oeufs blancs, sans taches, mais il y a souvent deux couvées successives chaque année : c'est le cas pour le Trochilus colubris des Etats-Unis. Les petits sont nourris par les parents qui leur dégorgent la nourriture à la manière des Hirondelles, jusqu'à ce qu'ils soient en état de quitter le nid. Les petites espèces surtout sont d'un naturel querelleur et batailleur, attaquant tous les autres Oiseaux, même de leur espèce, qui s'approchent de leur nid ou de l'espace qu'ils considèrent comme leur domaine, et mettant audacieusement en fuite des Oiseaux dix fois plus gros qu'eux. On les capture assez facilement, sur les fleurs, à l'aide d'un filet à papillons.

Les Oiseaux-Mouches vivent difficilement en captivité. Cependant, dans leur pays natal, on petit les garder en cage, pendant quelques mois, en leur donnant chaque jour les fleurs fraîches qu'ils recherchent d'habitude et dans lesquelles ils trouvent les petits insectes dont ils se nourrissent. Beulloch, au Mexique, en a réuni près de soixante-dix à la fois, d'espèces variées, dans une vaste cage ou se trouvaient des vases remplis d'eau sucrée, dans laquelle trempait le pédoncule des fleurs, telles que celles du Bignonia ou du grand Aloès. C'est un spectacle curieux de voir les plus petits prendre des libertés surprenantes avec les grandes espèces.

« Par exemple, lorsque la perche était occupée par l'Oiseau-Mouche à gorge bleue, le Mexicain étoilé, véritable nain en comparaison du premier, s'établissait sur le long bec de celui-ci et y demeurait pendant plusieurs minutes, sans que son compagnon parût s'offenser de cette familiarité. » 
Par contre, on a pu très rarement en transporter vivants jusqu'en Europe, et la plupart sont morts au bout de quelques jours, malgré tous les soins et faute d'une nourriture convenable.

Classification.
La classification des Trochilidés présente de grandes difficultés en raison de la variété de formes que présente ce groupe d'une organisation d'ailleurs très uniforme. L'ancienne division en Oiseaux-Mouches à bec droit et Colibris à bec recourbé est depuis longtemps abandonnée, car on trouve tous les intermédiaires. Salvin divisait la famille en deux sections : les Serrirostres à bec dentelé sur le bord et les Lévirostres à bec lisse; mais, comme l'a fait remarquer E. Simon, le fait que Salvin a été obligé de créer, sous le nom d'intermédiaires, une troisième section plus nombreuse que la première prouve combien cette classification est artificielle. Il semble préférable de ranger les 127 genres de la famille en une seule série, comme l'a fait Simon, sans tenir compte de la serrulation du bec, qui n'est qu'un caractère générique, mais en groupant les genres qui ont des affinités réelles et passant insensiblement des types à bec fort et robuste aux types à bec grêle et faible. 

Dans cette revue rapide, nous signalerons seulement les types les plus saillants.

Les genres Rhamphodon et Eutoxeres renferment des espèces de grande taille, à bec robuste, droit dans le premier, fortement recourbé dans le second, à plumage peu brillant. Le bec est serrulé dans le premier, dépourvu de dents dans le second ou la courbure du bec semble suppléer cette denticulation. L'Euroxère à bec d'aigle (Eutoxeres aquila) est des Andes de Panama et de l'Equateur

Le genre Phaetornis, très nombreux en espèces et à queue étagée, s'en rapproche, mais le bec est plus grêle et moins fortement recourbé. Le Colibri ermite (Ph. eremita) du Brésil en est le type.

Campylopterus est remarquable par la force de ses ailes dont la penne externe a la tige dilatée en forme de faux. Les mâles ont la tête bleue. Ils sont de Colombie et remplacés au Mexique par le genre Pampa. 

Le Florisuge à gorge bleue (Florisuga mellivora) des Antilles, une des espèces les plus anciennement connues, a les tectrices caudales médianes aussi longues que les rectrices. Aphantochroa en est voisin. 

Le Patagona gigas, le plus grand des Trochilidés, a des couleurs assez ternes, le bec droit non dentelé. Il habite les Andes de l'Equateur, du Pérou et du Chili

Des Amazilia ou Becs de corail, en doit rapprocher les genres Uranomitra, Eucephala, Basilinna et Hylocharis, qui sont souvent blancs ou fauves dessous avec un plastron bleu brillant chez les mâles, et habitent la Colombie, la Guyane et le Brésil

Près du genre Chlorostilbon se placent les genres Ricordia (des Antilles) et Panterpe du Costa-Rica; ce dernier, dont la femelle est aussi brillante que le mâle, porte un plastron d'un rouge orangé doré, suivi d'une tache bleue; le dessus est d'un vert foncé lustré passant au bleu et au noir. 

Chez les Thaluriana, au contraire, les sexes sont très dissemblables (Th. glaucopis, commun au Brésil), les femelles n'ayant rien de la parure des mâles.

Par contre, Petasophora, dont le bec est dentelé et dont l'Anaïs de Lesson est le type, nous montre des femelles ornées comme les mâles de petites ailes de plumes brillantes formant cravate des deux côtés de la tête et d'un bleu ou violet magnifique qui des sur le vert doré du reste du corps (P. iolata des Andes de la Colombie et du Pérou). Avocettula prend place ici. 

Le Colibri de la Jamaïque (Lampornis mango) est en dessous d'un beau noir velouté avec les côtés du cou cravatés de rouge violet. Le Rubis-Topaze (Chrysolampis) a chez le mâle une huppe d'un beau rouge carmin avec la gorge d'un jaune doré éclatant; il vit en Guyane et dans les régions voisines, et c'est une des espèces que l'on trouve le plus communément chez les plumassiers. Les Eulampis, dont le bec est fortement dentelé, recourbé, plus long chez les femelles que chez les mâles, sont des oiseaux relativement grands et trapus; le Colibri grenat (E. jugularis), noir avec la gorge d'un rouge violet, est de la Martinique.

Genres dont le bec est  non-dentelé.
Tous les genres qui suivent ont le bec dépourvu de dents. Smaragdites, Chrysobronchus (ou Polytmus) sont de la Guyane, des Antilles et de l'Amazonie. Leucochloris a, même chez le mâle, la poitrine blanche sans plastron brillant. Aethurus polytmus, de la Jamaïque, se distingue, dans la famille, par ses ailes dont la première rémige est un peu plus courte que les suivantes; le mâle a deux plumes de la queue, très longues (trois fois plus longues que le corps) : c'est le Colibri à tête noire des anciens auteurs. 

Le genre Topaza, renferme deux magnifiques espèces : le Colibri topaze (T. pella), de la Guyane, d'un rouge sombre dessus, carminé dessous, avec la gorge dorée bordée de noir, et le T. pyra du Rio Negro, non moins brillant. 

Près de ce genre se place Oreotrochilus, si remarquable par son habitat an sommet des plus hautes montagnes et des volcans des Andes, de l'Equateur au Chili; les mâles ont souvent la tête et la gorge d'un beau bleu irisé comme l'O. chimborazo, le reste du ventre blanc ou roux. 

Urochroa et Sternoclyta sont voisins; St. cyanipectus du Venezuela a la gorge émeraude avec la poitrine d'un bleu saphir. Chez les Coeligena, la gorge est bleue pâle, rose ou violette, suivant les espèces qui habitent le Mexique et Colombie.

Le Grand-Rubis (Clytolaema rubinea), commun dans le Sud du Brésil, a la gorge d'un beau rouge carminé. Heliodoxa et Hylonympha sont voisins. L'Eugenia imperatrix, de I'Equateur, a la queue profondément fourchue, une tache frontale émeraude et la gorge violette.

Les Helianthea ont un bec long, droit, au moins de la moitié de la longueur du corps, et certaines espèces (sous-genre Diphlogaena) à plumage roux ont le sommet de la tête très brillant, rouge feu, jaune d'or ou bleu saphir. Toutes sont des Andes, du Venezuela au Pérou et à la Bolivie. Mais le caractère du bec est encore exagéré dans le genre Docimastes, dont l'unique espèce (D. ensifer) a cet organe plus long que le corps entier, pointu, droit ou même légèrement recourbé vers le haut. Cet Oiseau, d'un vert brillant, de grande taille, habite les hautes montagnes du Venezuela et de l'Équateur. La femelle moins brillante a le bec encore plus long que le mâle. Pterophanes Temmnincki, le plus gros des Trochilidés après Patagona pigas, en est voisin, ainsi qu'Aglaeactis et Boissoneauxia (ou Panoplites).

Le genre Spathura est remarquable par les touffes de plumes blanches ou rousses qui garnissent les pattes audessus des doigts, formant de petits manchons floconneux. La queue est fortement fourchue et les rectrices externes se terminent par une palette arrondie, précédée d'un rétrécissement. Ces Oiseaux, plus petits que les précédents, habitent la Colombie, le Pérou, la Bolivie. Engyete et Eriocnemys ont des manchons du même genre, plus réduits dans Urosticte. Adelomya , Heliangelus et Metallura ont la queue plus courte et souvent des plaques gulaires à reflets de couleur variée suivant les espèces. Le genre Eustephanus est celui qui pénètre le plus au Sud, comme nous l'avons dit (E. galeritus du Chili; E. fernandensis de Juan Fernandez et E. Leyboldi de l'île voisine de Mas Afuera); la tête est parée d'une huppe d'un rouge brillant.

Le genre Lesbia (ou Sapho) est le type d'un beau groupe très remarquable par sa queue fourchue deux ou trois fois plus longue que le corps, chez les mâles : dans L. phaon des Andes de Bolivie, la queue est d'un rouge carminé brillant; dans L. sparganura du Chili et de l'Argentine, elle est d'un rouge cuivreux; mais, chez les deux espèces, les rectrices sont terminées par une bande d'un noir velouté. Dans le genre Cyanolesbia (ou Cynanthus), la queue a la même forme, mais sa couleur est d'un beau bleu ou d'un vert changeant, et les espèces habitent les Andes de l'Equateur et de la Bolivie. Le bec est assez court, droit, et passe au genre suivant.
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Colibri sapho.

Ramphomicron se distingue par son bec plus court que la tête, ce qui est exceptionnel chez les Trochilidés. Le mâle du Ph. microrhynchum, de Colombie, porte une étroite barbiche d'un vert doré. Dans le genre voisin, Oxypogon des Andes de Colombie, le plumage est mou, peu brillant. 

Augastes et Schistes prennent place ici. Heliothrix, qui a le bec, exceptionnellement denté, mais surtout en lame de poignard, porte une queue à rectrices étroites, plus courte chez le mâle que chez la femelle. H. auritus, très répandu, des Antilles au Sud du Brésil, porte deux petites touffes d'un bleu violet en forme d'oreilles. Heliactin cornutus du Brésil, plus élégant encore, porte deux aigrettes d'un rouge doré tranchant sur les plumes bleues du sommet de la tête.

Dans les genres suivants, tous de petite taille, la disposition de la queue est très variable, souvent formée de plumes effilées, pointues on inégales : Thaumastura, dont le type est l'Oiseau-mouche Cora (Th. coca) du Pérou occidental, a la gorge d'un beau rose lilas à reflets gorge-de-pigeon; la queue est longue, à rectrices étroites, blanches et noires. Les genres Callithorax et Calliphlox se placent ici. Myrmia micrura, de l'Equateur, est très petit, à plumage mou et peu brillant. 

Le genre Trochilus proprement dit a pour type l'Oiseau-mouche Rubis (Tr. colubris), qui vient nicher, au printemps, dans le Sud des Etats-Unis, qu'il quitte à l'automne pour aller hiverner plus au Sud Acestrura et Atthis  sont voisins, et Polyxemus bombus, des Andes de l'Equateur, à gorge d'un beau rouge, est peut-être le plus petit de tous les Oiseaux-Mouches, n'étant guère plus gros que le Sphinx bourdon. Mellisuga minima, des Antilles, considéré longtemps comme tel, est un peu plus gros.

Les genres Bellona, Stephanoxis (ou Cephalolepsis), Claïs, Lophornis, renferment de petites espèces très remarquables par les huppes et les cravates étalées en éventail, dont leur front et les côtés de leur cou sont ornés, et, qu'ils relèvent en faisant la roue dent leurs femelles. Ils sont des Antilles, de Colombie et du Brésil, et sont désignés vulgairement sous les noms de Huppe-coi, Hausse-col et Coquette.

Les genres Abeillie, Microchera, qui renferment aussi de très petites espèces (M. albocoronata, des Andes de Panama), et Popelairea, terminent cette série.

Loddigesia mirabilis, enfin, remarquable par ses ailes courtes et sa queue, dont les deux rectrices médianes, très longues, se terminent par une large palette, est tout à fait isolé par ses caractères et habite le Pérou central. (E. Trouessart).

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