| La Jeune fille qui pleure son oiseau mort est un tableau de Greuze (Salon de 1765). - Comme dans la Cruche cassée, comme dans la Fille confuse ou Malheur imprévu, l'artiste met en scène un accident naturel, et même vulgaire, mais qu'il poétise ou rend équivoque, à notre choix, en lui prêtant de trop aimables sous entendus. Diderot, dans son Salon de 1765, a insisté plus que de raison sur les motifs cachés d'une douleur si grande. La tête est bien éclairée et de la couleur la plus agréable qu'on puisse donner à une blonde. (NLI). - La Jeune fille qui pleure son oiseau mort, par Greuze. | |