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L'Égypte des Pharaons
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Selon les auteurs, le Moyen Empire, né à Thèbes, commence, soit vers 2010 av. J.-C, c'est-à-dire à partir du dernier règne de la XIe dynastie, celui de roi Mentouhotep IV, réunificateur de l'Égypte, soit dès le début de la XIIe dynastie, vers 1991, avec Amenemhat Ier. Ce sera  pour le pays une période de stabilité et d'une certaine prospérité. L'art s'affine, la littérature atteint sa maturité. D'un point de vue politique, il s'agit d'une époque de redéfinition du pouvoir du pharaon, qui en consolide le règne. Amenemhat Ier inaugure ainsi un nouveau mode successoral qui associe dans le cadre d'une sorte de co-régence, le  fils du roi, appelé à prendre sa suite. Les règnes dès lors se chevauchent pendant quelques années.

De la même façon que l'Ancien Empire avait signifié l'union du Sud et du Nord en choisissant Memphis, à la frontière des deux régions, comme capitale, la capitale du Moyen Empire est transportée à Itaoui (el-Lisht), non loin de Memphis. Thèbes, berceau de la dynastie, restant le grand sanctuaire, et son dieu Amon, le dieu désormais en passe de devenir le plus important (La religion égyptienne). Le successeur d'Amenemhat Ier, Sésostris Ier (1971-1926), inscrivit  sa politique dans le prolongement de celle son père, et travailla à étendre l'empire (reconquête de la Nubie). Son fils, Amenemhat II (1929 - 1892) affermit le pouvoir des nomarques (gouverneurs des provinces) et s'engagea dans une guerre au Levant. Sésostris II (1897-1878) et surtout le Sésostris III (1878 - 1841) récolteront les fruits de la politique de leurs prédécesseurs et c'est sous Sésostris III, à la politique extérieure agressive, que le Moyen Empire atteint le sommet de sa puissance. Suivent encore Amenemhat III (1844-1797) et IV (1799-1787). Mais la XIIe dynastie finit cependant par s'user et s'éteint à la fin du règne de la reine Sobekneferu (1787-1783).

Les XXIIIe (1783- ca. 1640) et XIVe (?) dynasties, sont mal connues, mais correspondent d'évidence à une période de déclin. Cette véritable plaie de l'Égypte  pharaonique qu'aura été sa bureaucratie envahissante et, au final, contre-productive, semble comme déjà au temps de l'Ancien Empire, avoir contribué au délitement de l'État. A partir de 1640, cette faiblesse est mise à profit des populations venues d'Asie, les Hyksos, présents déjà depuis quelque temps dans le Delta, mais qui désormais peuvent aspirer au contrôle politique du pays. Le Moyen Empire n'est plus. Deux dynasties hyksos se succèdent maintenant pendant plus d'un siècle (deuxième période intermédiaire). Ces "rois étrangers" ne seront chassés qu'en 1550, avec l'avènement de la XVIIIe dynastie (Nouvel Empire). 

Dates-clés  :
2040 -1640 av. J.-C. - Moyen Empire.

1991 - Amenemhat Ier fonde la XIIe dynastie.

1878 - 1841 - Règne de Sésostris III.

1844-1797 - Amenhemat III.

1640 -1532 - Deuxième période intermédiaire (domination des Hyksos).

Jusqu'à l'avènement des dynasties héracléopolitaines (L'Ancien Empire), les nomes du Sud n'avaient joué qu'un rôle effacé; les inscriptions des tombeaux d'Assiout nous les montrent sortant de la tranquille obscurité où ils vivaient pour entrer en lutte avec leurs voisins du Nord et essayer de reprendre à leur compte l'hégémonie (qui avait sans doute reçu plus d'une atteinte) des princes de Hnès (Héracléopolis) sur le reste de l'Égypte. Le plus ancien des princes connus de cette XIe dynastie qui posa les premières assises de la puissance thébaine, Entouf Ier, n'était qu'un ropa (seigneur héréditaire). Son fils Mentouhotep Ier et ses successeurs s'enhardirent à prendre le cartouche, sans pourtant s'imposer comme suzerains à la Basse-Égypte restée soumise à l'ancienne métropole. On s'accorde néanmoins à reconnaître qu'après dix règnes dont la durée est mal déterminée, un des rois de Thèbes, Nibkheroura Mentouhotep IV fut assez heureux pour justifier son titre de roi des deux pays par une conquête effective la quatorzième année de son règne qui se borna vraisemblablement à l'Égypte proprement dite, car on ne trouve trace de la puissance thébaine à pareille époque ni au delà des rochers de la première cataracte, ni dans la presqu'île du Sinaï, dont les mines étaient abandonnées. En revanche, ces princes, à l'exemple des rois héracléopolitains, donnèrent leurs soins aux carrières de la vallée d'Hammamât et cherchèrent, peut être les premiers, par la fondation d'un port voisin de l'emplacement de la moderne Qocéir, un débouché sur la mer Rouge. La nécropole de la XIe dynastie est située au Nord de la grande nécropole thébaine (rive gauche), à Drah Abou'l Negah, c.-à-d. près du point où débouche le défilé de Bab et Molouk (Vallée des Rois).
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La Vallée des Rois, en Egypte.
La Vallée des Rois, en Egypte.

La XIIe dynastie.

La XIIe dynastie, fondée  à partir de 1991 av. J. C, par l'ancien vizir (principal ministre) de Mentouhotep IV, Amenemhat Ier (Amenhemet ou Amménémès ), originaire d'Eléphantine (ou de Thèbes?), inaugure le Moyen empire proprement dit. Cette dynastie, dont la capitale est dès son commencement transférée à  Itiaoui, (probablement aujoud'hui el-Lisht, entre le Fayoum et le Nil), nous intéresse à plusieurs égards. Elle a d'abord l'inappréciable avantage d'être la mieux connue de toutes les dynasties égyptiennes. Ses huit souverains se font suite sans interruption. Sans doute, sa durée varie selon les diverses sources; mais il est à remarquer que le total des années de règne donné par les monuments (181 ans) est à peu près la moyenne entre le chiffre de Manéthon (160) et celui du Canon de Turin (213). Une des particularités de cette dynastie est la précaution, renouvelée presque à chaque règne, que prennent les pharaons (rois), après un exercice plus ou moins long du pouvoir, d'associer leurs successeurs au trône avec la jouissance de toutes les prérogatives royales. C'est ainsi qu'Amenemhat Ier partagea, après quarante-deux ans de règne, le pouvoir avec son fils Sésostris Ier (Ousirtasen ou Sénousret) (1971), lequel, après trente-deux ans de règne, rendit la pareille à son fils, Amenemhat II (1929). Amenemhat II ne fit pas autrement à l'égard de Sésostris II (1897) et, après interruption, Amenemhat III (1844-1797) reprit la coutume en faveur d'Amenemhat IV (1799-1787).

Ce système de gouvernement n'avait pas seulement l'avantage de mettre le trône à l'abri des compétitions; il avait celui d'intéresser plus vivement chaque prince à l'oeuvre de son prédécesseur. Le bénéfice qu'en retira l'Égypte fut immense : à aucune autre époque, elle n'eut un gouvernement plus efficace, ni une plus réelle prospérité. Les pharaons de la XIIe dynastie furent des conquérants à la manière de Pepi Ier. Ils se préoccupèrent avant tout d'assurer à l'Égypte la protection de ses frontières de l'Est et de l'Ouest, sans cesse menacées par les Bédouins du Sinaï et de Libye. Ils reprirent l'exploitation de l'ancien district de Magharah, ouvrirent même de nouvelles mines sur le haut plateau de Sarbût et Khadem. Ils attachèrent surtout un grand prix à la possession complète du cours du Nil proprement dit et s'en rendirent maîtres après d'heureuses campagnes dirigées contre les tribus éthiopiennes et les tribus nubiennes. Sous le règne d'Amenemhat Ier , plusieurs campagnes furent conduites dans le Sud pour s'assurer la possession du pays jusqu'à la deuxième cataracte, qui fut effective sous Sésostris Ier. Leurs successeurs jugèrent prudent, néanmoins, de ne pas étendre trop au Sud leurs occupations et firent de Semneh, à une journée en avant de la deuxième cataracte, leur poste-frontière. On y voit encore les restes imposants de la forteresse élevée, pense-t-on, par le belliqueux Sésostris III, sous le règne duquel le Moyen Empire atteignit son apogée. 
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Pectoral de Sesostris III.

Les successeurs de Sésostris III hériteront donc d'un empire prospère, et qui va le demeurer encore quelque temps. Cependant des difficultés commencent à se faire jour dès le règne d'Amenemhat III. Il fallut notamment développer l'agriculture au Fayoum, pour espérer nourrir une population, que des crues insuffisantes du Nil, pendant plusieurs années avaient menacé de famine. La XIIe dynastie s'éteint avec les règnes d'Amenemhat IV, puis de sa soeur, la reine Sobekneferu (Sébeknefrourê). Elle aura correspondu à l'une des plus remarquables périodes de l'histoire égyptienne.

C'est surtout comme ingénieurs-agriculteurs que tous ces monarques de la XIIe dynastie auront laissé leur empreinte. Ils donnèrent en effet tous leurs soins à l'agriculture en multipliant les bassins et les canaux, en redressant les berges du fleuve, en appliquant, en un mot, les procédés les plus rationnels à l'irrigation, dont ils eurent une très haute conception. La construction supposée du grand réservoir ou lac Moeris, par Amenemhat III, aurait été (si le récit d'Hérodote ne reposait pas sur un malentendu) une oeuvre d'une ampleur inégalée, mais la légende qui s'y rattache semble au moins témoigner de la place qu'avaient alors les travaux consacrés à l'amélioration de l'agriculture. Le temple que ce même roi construisit à l'entrée de Fayoum et connu sous le nom de Labyrinthe faisait, dans l'Antiquité, l'étonnement des voyageurs. Hérodote le déclarait supérieur aux pyramides, dont une seule pourtant, disait-il, dépasse de beaucoup les plus grandes constructions grecques.

« A côté de ces entreprises gigantesques, a écrit Maspéro, les travaux exécutés par Amenemhat III lui-même n'offrent que peu d'intérêt. A Thèbes, Amenemhat et Sésostris Ier embellirent de leurs offrandes le grand temple d'Amon. Dans la ville sainte d'Abydos, Sésostris Ier restaura le temple d'Osiris. A Memphis, Amenemhat III édifia les propylées au Nord du temple de Ptah. A Tanis, Amenemhat Ier fonda, en l'honneur des divinités de Memphis, un temple que ses successeurs agrandirent à l'envi. Fakous, Héliopolis, Hakhninsou, Zorit, Edfou et d'autres localités moins importantes ne furent pas négligées.-» 
Aucun monument ne nous laisse une plus juste vue d'ensemble de l'état de l'Égypte à cette époque que les tombes de Beni Hassan. Elles nous font connaître les noms, l'histoire et la situation politique d'une famille de princes héréditaires, les princes de Mihi (Moudirieh actuelle de Minieh), qui, si les circonstances s'y étaient prêtées, auraient pu devenir rois d'Égypte de la même manière que les princes de Héracléopolis ou de Thèbes. Ces nomarques durent se résigner à ne devenir que grands dignitaires de la cour et administrer leurs États comme préfets (pendant quelqu temps)  héréditaires du pharaon. Ces mêmes tombeaux sont une mine très riche de renseignements sur la vie agricole et les industries de l'Égypte à cette époque. L'un d'entre eux (tombeau de Knoumhotep) nous montre également une famille d'émigrants asiatiques amenée devant le gouverneur de la province de Mihi. 

Ainsi, plus d'un siècle avant l'invasion des Hyksos, des familles venues de Palestine pouvaient non seulement, comme le raconte la légende d'Abraham, pénétrer librement en Égypte, dont la frontière n'était fermée qu'aux bandes agressives, mais remonter la vallée jusqu'à la province de Mihi. Le Papyrus de Berlin n° 1 nous apprend que les Égyptiens pouvaient trouver le même accueil auprès des tribus du désert. Le héros d'un conte populaire (Sinhoué), dont la scène se passe au temps des deux premiers rois de la XIIe dynastie, obligé de prendre la fuite dans les vallées du Sinaï, rencontre un Bédouin qui l'amène, d'étape en étape, jusqu'au pays des Edomites. Le grand cheikh de la tribu le nomme commandant de ses troupes, etc. Ce joli conte n'est pas d'ailleurs le seul spécimen de la littérature égyptienne à l'époque la plus florissante du Moyen Empire. Les papyrus du British Museum nous ont conservé un Hymne au Nilsouvent cité, le petit traité de morale rédigé par Amenemhat Ier à l'usage de son fils Sésostris, ainsi qu'une sorte de satire rythmée de tous les métiers manuels, censèment écrite par un vieux scribe à son fils étudiant au séminaire de Cilcilis.

La XIIIe dynastie

La XIIIedynastie fait, par la connaissance incertaine qu'on en a, le plus grand contraste avec la XIIe. Manéthon lui attribue une durée de 453 ans et 60 rois, mais sans nous donner aucun nom. Il la fait suivre d'une dynastie de Xoïs (aujourd'hui Sakha, dans le Delta) avec 76 rois (sans autre désignation) pour une durée de 484 ans. Un important fragment du Papyrus de Turin place précisément après la XIIe une série de 130 à 150 prénoms ou surnoms d'intronisation dont quelques-uns seulement sont accompagnés de noms de famille. La moindre des difficultés que présente une pareille liste consiste à déterminer le point de séparation des deux dynasties. Le résultat le plus clair des plus ingénieuses tentatives a été d'attribuer à la XIIIe dynastie les cartouches de Sowekhotep et de Nowréhotep, mentionnés d'ailleurs sur de nombreux monuments figurés dont quelques-uns ont été d'un grand secours pour le classement. Le lieu où ils ont été trouvés n'a pas été moins significatif. Il a permis de réfuter l'assertion que l'invasion des Hyksos avait eu lieu sous la XIIIe dynastie. 

C'est en effet Avaris (à l'Est du Delta), la future capitale des Hyksos, l'île d'Argo, près de Dongola, Semneh, indépendamment de Thèbes et d'Abydos qui ont fourni la majeure partie de ces monuments. Comment concilier une activité dont le rayon s'étend de Tanis à Dongolah avec une invasion étrangère? La qualité des monuments n'y contredit pas moins. Ce sont, pour ne citer que les principaux : le colosse de Sowekhotep III, provenant des fouilles de Drovetti dans la Basse-Égypte (Louvre, A, 16); une statue demi-grandeur du même en granit gris (id., A, 17); le sphinx de granit rose, portant indûment le cartouche de Ramsès II (id., A, 21); la statue de Sowekemsaw, provenant d'Abydos, ou le petit groupe de calcaire représentant le roi Menkaoura Nahit en adoration devant le dieu Mîn de Coptos.

Les Hyksos et la Deuxième période intermédiaire

C'est après cette longue et obscure dynastie xoïte, vers 1640, suivie d'une fantomatique XIVe dynastie (probablement contemporaine de la XIIIe, ce qui attesterait de la partition déjà effective du pays), que les abréviateurs de Manéthon placent l'invasion des Hyksos. Ils sont moins d'ailleurs des envahisseurs, qu'une population étrangère implantée depuis plusieurs générations dans le Delta. Ce sont des tribus principalement, semble-t-il, amorrites (population de langue sémitique), et dont le nom signifie quelque chose comme souverains des pays étrangers (et non rois pasteurs, comme une étymologie erronée qui remonte à Manéthon l'a longtemps fait croire). Grâce à l'aide de "collabos" égyptiens, ils s'emparent d'abord du Delta sans coup férir. Leur chef, Salatès ou Saïtès, inaugure la XVe dynastie, élit dans un premier temps Memphis pour capitale, et  transforme  Avaris, à la frontière orientale du Delta, en un vaste camp retranché. Salatès, dont le règne avait été de dix-neuf ans, mourra cependant sans avoir jamais réussi à véritablement porter son emprise au-delà du Delta, et de fait Avaris sera la véritable capitale des Hyksos. Ses successeurs, Bnôn, Apachnas, Apophis et Iannas, ne sont pas plus heureux. Mais deux siècles de combats opiniâtres finissent pas user la résistance égyptienne, et les Hyksos deviennent enfin maîtres de toute l'Égypte, dont ils adopteront la civilisation. Cette victoire -plus politique que culturelle, donc - fut l'oeuvre d'Assès, successeur de Iannas, et avec qui prend fin la Ire dynastie étrangère. Elle avait duré environ deux siècles et demi. 

Il y eut une Ile dynastie hyksos (XVIe),  et Manéthon en évoque encore une IIIe (?), avec de 43 rois pour 151 ans de règne, au terme desquels, dit-il, ils seront battus et refoulés dans Avaris par un prince thébain, fondateur de la XVIIIe dynastie, que Flavius Josèphe appelle Misphragmuthosis. Toujours selon cette tradition, son fils Thoutmosis les laissera après un long règne évacuer pacifiquement l'Égypte. Il existe une autre version non moins romanesque, mais de source indigène. Le Papyrus Sallier Ier, du British Museum met en présence Apopi et le roi thébain Sqenenrâ (Séqénenré) ler. Il s'agit de savoir lequel des deux adorera le dieu de l'autre; sera-ce Apopi qui se convertira à Amon-Râ ou Sqenenrà au dieu Soutekh? Tout dépendra d'une sorte d'énigme que le chef hyksos fait poser au chef thébain. Ce roman populaire insinue  que la reprise de la guerre pour l'indépendance eut un motif religieux (ce qui n'est pas si clair que cela), et en tout cas qu'elle est à placer à l'époque de Sqenenrâ Ier.

Quoi qu'il en soit, on admet que ce sont bien les princes de cette XVIIe dynastie thébaine qui délivrèrent l'Égypte. Leurs noms  nous sont depuis longtemps connus par les monuments. La cachette de Déir el-Bahari a même livré le cercueil et la momie (Religion égyptienne) de l'un d'entre eux, Sqenenrâ III. Pour ce qui est des Hyksos, nous n'avons d'autre documents originaux que les monuments trouvés par Mariette à Sân el-Hagar (site de Tanis, proche de l'ancienne Avaris), et portant le cartouche d'un Apopi. Mais le document plus important pour cette époque est l'inscription du tombeau d'Ahmos, fils d'Abna, à El Kab. Ce personnage, né sous Sqenenrâ III, nous raconte toutes ses campagnes et la part qu'il prit au siège d'Avaris et à sa chute. Il aurait même poursuivi la poursuite des Hyksos jusqu'en Asie (vers 1550). Cet Ahmos est-il Ahmosis Ier ou, comme on le pense généralement, un homonyme? Toujours est-il qu'à partir du départ des Hyksos, c'est Ahmosis Ier , fondateur de la XVIIIe dynastie,  et début du Nouvel Empire, qui devient roi. (Georges Bénédite).

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