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La découverte et l'exploration de l'Amérique
Aperçu L'Amérique du Nord L'Amérique du Sud
Si l'on met à part les incursions, et même les premiers établissements, des Vikings au Nord de l'Amérique, on peut dire que les Européens n'ont véritablement eu connaissance de l'existence du continent américain qu'à partir des découvertes faites par Christophe Colomb et de ses équipages en 1492 (Les Grandes Découvertes). Il abordèrent  le 12 octobre aux Bahamas, et en 1498 , le navigateur découvrit la Terre-Ferme (l'Amérique continentale). 

Sans doute, bien longtemps avant la découverte de Christophe Colomb, l'Amérique avait été connue par des pirates scandinaves; sous la conduite d'Éric le Rouge, qui atteignit le Groenland en 986, et vit son fils Leif l'Heureux et ses compagnons s'établir, en 1002, dans l'île de Terre-Neuve, et par la suite plus au sud. Reste que ces découvertes sont restées trop confidentielles pour avoir changé quoi ce ce soit à l'histoire du monde. Celle-ci ne basculera qu'à la fin XVe siècle, quand ces vastes contrées seront réellement connues de l'Europe auront pris place au sein de l'ensemble des connaissances géographiques. A partir de là des empires seront détruits, d'autres se construiront.

De fait, cette découverte a aussi une conquête sanguinaire. A la nouvelle de cette découverte, de tous les points de l'Europe, souvent de ses contrées les plus déshéritées, comme l'Estrémadure, en Espagne, on vit se lever des aventuriers ruinés, que leurs passions avides, trop à l'étroit dans l'ancien monde, poussaient vers le nouveau. La soif de l'or était presque partout, l'imagination la plus exaltée ne pouvait rêver plus de trésors que n'en contenait l'Amérique; on se mit à suivre les navigateurs cherchant d'autres mondes encore dans ce monde récemment  connu. Et ce fut un terrible malheur pour les Amérindiens, présents sur le continent depuis plusieurs dizaines de milliers d'années, qui se virent soudain a la merci de la cupidité brutale des Européens. Ceux-ci furent conduits d'abord par les Cortez,  les Pizarro, les Almagro, les Pinzon, etc. 

Mais, sans cesse, pendant les siècles suivants, alors que les voyages de découvertes se poursuivaient (Magellan, Lewis et Clarke, Quadra et Vancouver, Humboldt et Bonpland, Franklin et Parry, etc.), de nouvelles populations vont continuer d'immigrer en Amérique et lui donner le visage qu'on lui connaît aujourd'hui. Ces populations auront été parfois poussés au-delà de l'océan, parce que persécutées pour des raisons religieuses, comme en Angleterre au XVIIe siècle, parfois pour des raisons politiques (et se sera encore souvent le cas jusqu'à nos jours), parfois poursuivis encore par la misère, toujours attirées par des récits éblouissants, le plus souvent trompeurs. A cela s'est ajoutée une immigration de nature toute différente, la traite esclavagiste, à l'origine d'une composante importante des populations actuelles des États-Unis, des Antilles et Brésil.

La Découverte

Qui a découvert l'Amérique?
A la fin du XVIIIe siècle  et au XIXe siècle, divers savants se sont demandé si l'Amérique n'avait pas été découverte et visitée par des marins de l'ancien continent avant Christophe Colomb. Comme le soulignait par exemple Bailly, des auteurs anciens tels que  Platon et Sénèque ont mentionné une vaste terre située à l'Ouest de l'Europe et qu'ils appellent l'Atlantide. Mais Platon n'évoquait l'existence de cette île immense que dans le cadre d'un mythe, c'est-à-dire d'un récit inventé, dans le but de mettre en scène la conception qu'avait le philosophe l'ordre et du désordre dans la Cité, une obsession de la culture grecque ancienne, et qui n'a rien de géographique ou d'historique. Et même si, cédant à une forme de fondamentalisme, on veut  prendre à la lettre ce récit, il devient vite évident que cette Atlantide n'a rien à voir avec ce que l'on sait de l'Amérique précolombienne. Peut-être plus crédible est cependant le témoignage de Diodore de Sicile, qui parle d'un navire phénicien qui, poussé par la tempête, fut jeté bien loin à l'Ouest, de l'Afrique, sur une terre couverte de grandes forêts, arrosée par des fleuves immenses. Les textes précis manqueront probablement toujours pour trancher cette discussion dont l'importance géographique est en somme secondaire. 

Quelques autres auteurs - dont quelques uns (G. Elliot Smith et W.J. Perry) défendaient encore ce point de vue, aujourd'hui obsolète, dans les années 1920 - frappés de vagues ressemblances entre les débris de l'art mexicain et péruvien avec le style archaïque égyptien, ont supposé que les Phéniciens avaient non seulement découvert, mais colonisé l'Amérique. En admettant que cette thèse soit prouvée, ce qui n'est nullement le cas et que des Phéniciens soient allés par hasard dans le nouveau monde et en soient revenus, il paraît certain qu'ils n'y sont pas retournés. L'historien des Mongols, de Guignes, a essayé, en 1761, de démontrer que c'était aux Chinois que revenait l'honneur de cette découverte. Suivant lui et d'après Neumann, les marins chinois, dès le Ve siècle ap. J.-C., seraient arrivés en Amérique par le Kamtchatka et les îles Aléoutiennes et y auraient même importé le bouddhisme. Ils auraient donné à ce continent le nom de Fou-sang. Cette hypothèse est très contestée, bien qu'il soit vraisemblable que les Chinois et les Japonais ont connu l'existence du continent américain. Et même aussi, si les vrais découvreurs de l'Amérique, dont descendent les Amérindiens actuels, venaient bien d'Asie orientale (et peut-être aussi, pour certains, d'Océanie). 

Plus assurés sont les voyages en Amérique des Scandinaves, ces Phéniciens du Nord, comme on les a parfois surnommés. Les sagas islandaises mentionnent les exploits de deux aventuriers partis de l'Islande, Gunnbjoern, puis Eric le Rouge, qui découvrirent le Groenland en 970 et en 983. Leif, fils d'Éric, et Bioern Hersuefson, au commencement du XIe siècle, cinglant vers le Sud-Ouest, découvrit le Labrador, Terre-Neuve (présence attestée à l'Anse-aux-Meadows en 1021), l'Acadie, la Nouvelle Angleterre, et trouvèrent ces pays occupés par des Inuit (ceux-ci seront ensuite refoulés vers le Nord par les Amérindiens). Les traces de ces aventuriers furent suivies par des colons qui s'établirent sur des territoires désignés sous les noms de terre pierreuse (Halluland), terre boisée (Markland) et enfin terre de la vigne (Vinland). Celle-ci ne serait autre que la grande île qui couvre New York, Long-Island. L'archéologie atteste effectivement de divers établissements vikings le long des côtes nord-ouest des États-Unis (au Cap Cod, notamment) et du Canada (Les découvertes des Vikings) . On suit jusqu'en 1409, d'une manière très confuse, il est vrai, l'histoire lacunaire que les textes permettent de reconstituer de ces établissements. Mais ces découvertes furent abandonnées et l'existence de l'Amérique resta encore ignorée de l'Europe pendant près d'un siècle. En France, où l'on s'imagine si volontiers avoir été les premiers partout (au point qu'on se demande comment on s'est débrouillé avec un tel palmarès pour ne l'être plus nulle part), on a dit que les pêcheurs français de Saint-Malo et ceux ceux du cap Breton (Gascogne) étaient arrivés les premiers sur l'autre bord de l'Atlantique où ils auraient exploité les pêcheries de Terre-Neuve. Et, on trouve, en effet, dès 1504, des Bretons et des Dieppois dans ces parages. Il est possible que ces flottilles n'en fussent pas à leurs premières traversées; mais si, par une discrétion que pourrait expliquer la volonté de garder secrets les emplacements de zones de pêche très riches, les patrons de ces navires avaient été conduits à cacher ainsi leurs découvertes, on a tout de même peine à croire qu'ils aient gardé le silence sur leur supposée antériorité après le bruit fait par celles des Espagnols. 

Les voyages de Colomb.
C'est en cherchant par l'Ouest la route des Indes que Christophe Colomb arrive dans le nouveau monde. Persuadé, à la suite de longs calculs fondés sur les relations de voyage de Marco Polo et sur les données de Ptolémée, que la distance entre Lisbonne et le Japon (Zipango) était de cent degrés de longitude, il conduit le projet de s'y rendre en évitant le périple dangereux de l'Afrique. Il se trompait de la moitié environ; mais cette erreur n'ôte rien à son mérite. L'entreprise était assez terrible pour épouvanter un marin ordinaire. Rebuté par plusieurs rois auxquels il exposa ses plans, il fit enfin accueilli par Isabelle la Catholique, signa un traité avec elle et, parti du petit port de Palos (Andalousie) le 3 août 1492, il aborda avec ses équipages le 12 octobre dans l'île de Guanahani, qu'il appela San Salvador et qui est probablement celle qu'en appelle aujourd'hui Watling, et se situe dans l'archipel qui a aujourd'hui le nom d'îles Bahamas. La chaîne des îles à laquelle elles appartenaient reçut très vite le nom d'Antilles.

Continuant ses explorations, Christophe Colomb reconnut Cuba et Haïti qu'il appela d'abord Hispaniola, ou L'Espagnole, et plus tard San Domingo, du prénom de son frère. Il rentra, chargé de trésors dans le port de Palos le 15 mars 1493 et revint en Amérique en septembre de la même année, rapportant la fameuse bulle d'Alexandre VI (4 mai 1493), par laquelle toutes les terres situées à 370 milles à l'Ouest des Açores devaient appartenir aux Espagnols. Dans ce second voyage, Colomb découvrit quelques unes des petites Antilles, la Jamaïque et Porto-Rico. C'est dans sen troisième voyage seulement, en 1498, qu'après avoir longé l'île de la Trinité (Trinidad), il descendit sur le continent même, près de l'embouchure de l'Orénoque. 

Un autre Européen, Sébastien Cabot, avait vu avant Colomb le continent américain. Lorsqu'on apprit en Europe les merveilleuses découvertes de Colomb, le roi Henri VII Tudor, à qui Colomb avait inutilement exposé ses projets, fit partir une petite expédition sons le commandement de Jean Cabot. Celui-ci quitta Bristol en mai 1497 avec son fils Sébastien et revint au bout de trois mois après avoir touché, croit-on, à Terre-Neuve. En 1498, au printemps, l'expédition repart commandée cette fois par Sébastien, débarque au Labrador par 58° de latitude Nord, puis longe le continent jusqu'aux parages déjà espagnols, c'est-à-dire jusqu'à la presqu'île de Floride. Ce voyage aboutit à une déception. Les Anglais cherchaient les métaux précieux; ils n'en trouvèrent pas et se découragèrent. Au contraire, la fièvre des découvertes devenait plus intense en Espagne, stimulée par la rivalité des Portugais jetés sur la côte du Brésil en 1500. Colomb, dans son quatrième et dernier voyage, chercha en vain in passage vers l'océan Indien et releva la côte depuis Guatemala jusqu'au Darien. Rappelé en Espagne, il y mourut le 20 mai 1506.
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Carte des voyages de Christophe Colomb.
Les Voyages de Colomb.
Les premiers explorateurs nommèrent "côte ferme", 
Terra firma, le littoral de l'Amérique du Sud, de l'embouchure
de l'Orénoque au golfe d'Uraba.

Les successeurs de Colomb.
L'année suivante, en 1507, Pinzon et Diaz de Solis longent le Yucatan, tandis que Sebastian Ocampo achève de faire le périple de Cuba et reconnaît, en 1508, que cette terre est une île. En 1511, les Espagnols transfèrent dans cette île leur quartier général et Diego Velasquez, gouverneur, y fonde en 1512 la ville de Baracoa. Santiago de Cuba, qu'il crée en 1514, devient la capitale et garde ce titre jusqu'en 1589. C'est également en 1512 que Ponce de Léon, ayant découvert la Floride, y fonde Saint-Augustin, la première ville européenne de l'Amérique du Nord. Enfin, en 1513, Nuñez de Balboa, s'étant avance dans l'isthme de Panama, apprit des indigènes l'existence d'une grande mer située à l'Ouest ; il continua sa marche et aperçut, en effet, du haut d'une montagne, l'océan que Magellan devait, quelques années plus tard, appeler  le Pacifique. Ainsi, en vingt ans, les Espagnols avaient relevé presque tous les rivages à l'Est et au Sud de la mer des Caraïbes. Restaient à découvrir le Mexique et le nord du golfe. La génération des premiers explorateurs fait place alors aux conquérants ou conquistadores, non moins célèbres pour leur intrépidité que pour leur férocité. Déjà, le nouveau monde, que Colomb avait donné à Léon et à Castille, suivant les termes de son épitaphe, était connu sous le nom que nous lui donnons, en 1507; un an après la mort de Christophe Colomb avait paru le livre du cosmographe Martin Waldseemüller (Hylacomylus) qui donnait aux îles nouvelles le nom de Terra America et, en 1520, Petrus Apianus publia la première carte portant officiellement ce nom. Ce nom venait de celui d'un autre navigateur, Amérigo Vespucci, qui n'avait eu tout au plus le mérite d'explorer, en 1499, la côte Nord-Est de l'Amérique du Sud et qui avait publié une relation de son voyage. 

Les Explorations

L'Amérique du Nord.
Très rapidement après la découverte de l'Amérique, dès les premières années du XVIe siècle,  les Espagnols ont engagé une politique de conquêtes au Mexique (Cortez) et en Amérique centrale (Balboa), réduisant la part de l'exploration au strict minimum (Alarcon, Cabrillo, de Soto). Les Français et les Anglais, qui se sont établis plus au Nord, n'étaient pas plus désintéressés, mais les territoires abordés étaient plus vastes, plus déserts, et une place plus grande aux voyages de découvertes pouvait être faite. Les explorations des Français concernent surtout le Canada (Verazzano, Cartier, Champlain) et le bassin du Mississippi (Marquette, Joliet), qui, dans la deuxième moitié du XVIIe siècle, constituera la Louisiane avec de Cavelier de la Salle). 

Ceux des Anglo-saxons pratiquement tout le reste du continent.  Au XVIIe siècle, les Protestants anglais, persécutés par les Stuarts, vinrent s'établir dans Amérique du Nord, et y fondèrent des colonies le long de la côte Est qui, affranchies en 1783, prirent le nom d'États-unis. En 1803, les États-Unis ont acquis la Louisiane et se sont ouvert ainsi les portes de tout l'Ouest du continent. Ce qui n'avait été jusque là que l'Arrière-pays (back-country) devient désormais la Frontière (frontier). Des missions d'explorations dans l'Ouest commencent alors à se succéder : Lewis et Clarke,  Pike, etc., qui, traversèrent les premiers les immenses déserts qui s'étendent au Nord-Ouest des États-Unis.

L'exploration de l'extrême Nord et le Nord-ouest de l'Amérique s'est fait dans un contexte différent. L'Alaska, au XVIIIe siècle était d'abord l'affaire des Russes (Behring), qui se découvraient ici leur propre Frontière, jusqu'à la vente de ce territoire aux États-Unis en 1867. Mais les principales explorations ont eu lieu dans le cadre de la recherche du passage du Nord-Ouest, entre le Nord du continent et la banquise. De 1817 à 1830, Franklin et Parry ont beaucoup avancé la reconnaissance de cette région de l'Arctique. Le passage entre l'Atlantique et l'Océan Pacifique, a finalement été trouvé en 1851 par le capitaine Mac-Clure. La découverte de richesses minières dans le Nord-Ouest y a attiré ensuite une autre sorte d'explorateurs.

A la fin du XIXe siècle, l'Amérique du Nord n'était pas encore connue dans ses vallées les plus reculées, et beaucoup de montagnes n'avaient été mesurées encore qu'approximativement, les études géologiques surtout restaient très imparfaites. Mais il n'y existait plus de lacunes comparables à celles que nous trouvons à la même époque dans la géographie de l'Australie, de l'Afrique ou même de l'Amérique du Sud.

L'Amérique du Sud.
Les Espagnols et les Portugais ont devancé tous les peuples européens dans l'Amérique du Sud. Ils l'ont si bien marquée de leur culture que cette partie du monde est appelée aussi l'Amérique latine. Si l'on a pu contester à Christophe Colomb le mérite d'avoir découvert le premier le continent proprement dit, il est plus difficile de lui trouver un rival pour la partie méridionale. A son troisième voyage en 1498, après avoir touché aux îles du cap Vert, il avait cinglé à l'Ouest en serrant d'aussi près que possible l'équateur. Obligé par les calmes de se tenir entre le 5e  et le 7e degré de latitude, il arriva le 31 juillet en face d'une terre très montagneuse qu'il appela l'île des Géants; c'est l'île qui surveille l'angle Nord-Est du continent, aujourd'hui la Trinité. Le lendemain il découvrait la terre ferme du delta de l'Orénoque, qu'il appelait l'île Sainte (Isla Santa) et, quatre jours plus tard, fit débarquer son équipage dans le golfe de Paria. 

Les plus célèbres explorateurs et conquistadores de l'Amérique du Sud après Colomb furent   Pinzon, Cabral, Pizarro, Almagro, Orellana, Valdivia, etc. Dès la fin du XVIe siècle, il avaient déjà reconnu et soumis avec une brutalité extrême presque toutes les côtes du continent : en 1500, la Guyane et le Brésil; en 1512, la Patagonie; en 1526, le Pérou, etc. Des explorations plus pacifiques auront lieu ensuite au XVIIe siècle, avec Schouten, Lemaire, Drake qui sur les traces de Magellan (1520). naviguent le long des côtes de l'extrême sud. A la toute fin du XVIIIe siècle (Humboldt et Bonpland), puis au XIXe siècle, (Codazzi, Reclus, Burmeister, Roussin, Fitz-Roy et Darwin à l'occasion de la circumnavigation du Beagle, etc.), abordent enfin l'étude proprement scientifique du continent. La découverte dans la vallée de l'Urubamba des ruines de la cité inca de Machu Picchu par Hiram Bingham en 1911, rappelle cependant qu'il y avait en Amérique dans les premières décennies du XXe siècle des régions encore inconnues. C'est surtout la carte de l'Amazonie qui porte encore quelques grandes zones blanches à cette époque, que Rice (1907-1925), le premier à avoir utilisé l'avion en ces contrées, et Fawcet (1906-1925), principalement finiront par remplir.



Marianne Mahn-Lot, La découverte de l'Amérique, Flammarion, 1999. - Avec J. A. Dickinson, 1492-1992 : les Européens découvrent l'Amérique, Presses Universitaires de Lyo, 1998. 

Gabriel Gravier, Découverte de l'Amérique par les Normands au Xe siècle. Adamant Media Corporatio, 2001.

Louis Salembier, Pierre D'Ailly et la Découverte De l'Amérique, BiblioBazaar , 2009.

Michel Chandeigne et Jean-Paul Duviols, Sur la route de Colomb et Magellan - Idées reçues sur les grandes découvertes, Le Cavalier Bleu, 2011.

Marie-Hélène Fraïssé, Découvreurs d'Amériques, 1492-1550, Albin Michel, 1991.

Antoine Lefébure, L'Amazonie disparue : Indiens et explorateurs 1825-1930, La découverte, 2005.

Thomas Gomez, L'invention de l'Amérique, Flammarion, 1997

Morris Birkbeck, Journal d'un voyage en Amérique, depuis la côte de Virginie jusqu'au territoire de l'Illinois, Gingko, 2007.




Sur le web - Le site L'Amiral de la Mer Océane.
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